[…]
Heureux qui peut nombrer les peines dont il souffre :
autant que la forêt a de jeunes pousses : de sable blond le Tibre : d’herbes tendres le champ de Mars :
autant j’ai enduré de maux : à quoi il n’y a nul remède ni repos : sinon dans l’étude : et le culte des Muses.
On me demande : Ovide à quoi mesureras-tu que ton poème a assez pleuré : à la fin de mon infortune.
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Heureux qui peut nombrer les peines dont il souffre :
autant que la forêt a de jeunes pousses : de sable blond le Tibre : d’herbes tendres le champ de Mars :
autant j’ai enduré de maux : à quoi il n’y a nul remède ni repos : sinon dans l’étude : et le culte des Muses.
On me demande : Ovide à quoi mesureras-tu que ton poème a assez pleuré : à la fin de mon infortune.
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En ligne le
06/06/05.
Dernière révision le 03/07/21.