Tortue. Babillarde, limoneuse, coquillière, noirâtre, ocieuse, tarde ou tardive, ventrue, délicieuse, marche-tard, voûtée, blandissante, ivoirine, courbe ou courbée, résonnante, creuse, phébéanne.
Pline fait quatre espèces de Tortue [dans la marge : Livre 9, chap. 10.] : L’une, de celles qui vivent en terre, la seconde de celles qui vivent en mer, la tierce de celles qui vivent en la fange, la quatrième de celles d’eau douce. La Tortue entre tous les poissons et oiseaux qui font des œufs, a seule des rognons, et quant au mâle un membre génital, et la femelle une matrice, s’accouplant comme les bêtes qui engendrent animal vif. Ce mot aussi quelquefois est pris pour un Luc.
Maurice de LA PORTE, Les
Épithètes, 1571,
f° 264v° [Gallica, NUMM-50715, PDF_535]
(texte modernisé).
Tortue. Babillarde, limonneuse, coquilliere, noirastre, otieuse, tarde ou tardiue, ventrue, delitieuse, marche-tard, voutee, blandissante, iuoirine, courbe ou courbee, resonnante, creuse, phebeanne.
Pline fait quatre especes de Tortue [dans la marge : Liure 9. chap.10.] : L’vne, de celles qui viuent en terre, la seconde de celles qui viuent en mer, la tierce de celles qui viuent en la fange, la quatriesme de celles d’eau douce. La Tortue entre tous les poissons & oiseaus qui font des œufs, a seule des roignons, & quant au masle vn membre genital, & la femelle vne matrice, s’accouplans comme les bestes qui engendrent animal vif. Ce mot aussi quelquesfois est prins pour vn Luc.
Maurice de LA PORTE, Les
Epithetes, 1571,
f° 264v° [Gallica, NUMM-50715, PDF_535]
(texte original).