[…]
Non ce n’est point
amour
qu’un appétit
pourceau,
[…]
Car l’amant
vertueux
qui l’amour
saint
conçoit
D’esprit,
d’oreille
et
d’œil,
comprend,
entend, et
voit
Les trois seules
beautés ;
si
l’esprit
beau
l’anime
Il suce le savoir, il conserve l’estime
De ce sujet aimé ;
s’il est pris à
l’accord,
Qu’un fredonnant
gosier
tout doux nous jette à bord,
Il en jouit alors qu’attaché par
l’oreille,
Il savoure à longs traits,
l’enchanteuse
merveille ;
Si les traits, la
couleur,
si les dimensions,
D’un corps
en tout
parfait,
forment ses
passions,
L’œil
qui seul de ce
beau
reçoit la connaissance,
Seul est capable aussi d’en avoir
jouissance.
[…]
[…]
Non ce n’est
point amour
qu’un
appétit
pourceau,
[…]
Car l’amant
vertueux
qui l’amour
saint
conçoit
D’esprit, d’oreille
et
d’œil, comprend, entend, et
voit
Les trois seules
beautés ; si
l’esprit
beau
l’anime
Il suce le savoir, il
conserve l’estime
De ce sujet aimé ;
s’il
est pris
à l’accord,
Qu’un
fredonnant
gosier
tout doux nous jette à bord,
Il en jouit alors qu’attaché
par l’oreille,
Il savoure à longs traits,
l’enchanteuse
merveille ;
Si les traits,
la
couleur,
si les dimensions,
D’un
corps
en tout
parfait, forment ses
passions,
L’œil
qui seul de ce
beau
reçoit la connaissance,
Seul est capable aussi d’en
avoir
jouissance.
[…]
En ligne le
25/01/25.
Dernière révision le 25/01/25.