««« porc ou pour­ceau »»»

« pour­ceau » dans :
Jacque­line de Mire­mont
1602
~ [Non ce n’est point amour…

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Porc ou Pour­ceau. Gras, porte-sée, fan­geux, gron­dant, ouil­lé, sa­lé, pro­fi­table, gour­mand, en­goué, vi­lain, aime-gland, en­grais­sé, se­tier, avide, glou­ton, vau­treux, im­pa­tient de faim, fri­leux, en­den­té, fa­mé­lique ou fa­meil­leux, dé­vo­rant. Le dimi­nu­tif Por­ce­let et Pour­ce­let.

Ce bétail est sujet à la lèpre pour sa glou­ton­nie, la­quelle est si grande, prin­ci­pa­le­ment aux Truies, qu’elles mangent aucunes fois leurs pe­tits, et ceux des autres, même les enfants au ber­ceau.

Maurice de LA PORTE, Les Épithètes, 1571,
ff. 213v°-214r° [Gallica, NUMM-50715, PDF_433_434]
(texte modernisé).

[Viande à porcs. Gland.]

[Voir aussi verrat et san­glier, ain­si que Circe, faine, nacre, Turcs.]


 

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Porc ou Pour­ceau. Gras, porte-see, fan­geus, gron­dant, aoul­lé, sa­lé, prof­fi­table, gour­mand, en­goué, vi­lain, aime-gland, en­grais­sé, se­tier, auide, glou­ton, veau­treus, im­pa­tient de faim, fril­leus, en­den­té, fa­me­lique ou fa­meil­leus, de­uo­rant. Le dim. Por­ce­let & Pour­ce­let.

Ce bestiail est subiet à la lepre pour sa glou­ton­nie, la­quelle est si grande, prin­ci­pa­le­ment aux Truies, qu’elles mangent aucu­nes­fois leurs pe­tis, & ceux des autres, mesmes les enfans au ber­ceau.

Maurice de LA PORTE, Les Epithetes, 1571,
ff. 213v°-214r° [Gallica, NUMM-50715, PDF_433_434]
(texte original).

[Viande à porcs. Gland.]

[Voir aussi verrat et san­glier, ain­si que Circe, faine, nacre, Turcs.]