Qui nombrera le
sablon
de la mer ?
Les gouttes
d’eau,
quand il pleut sur la terre ?
Les jours
du siècle ?
et qui pourra grand’erre
Et terre,
et Ciel,
au compas
exprimer ?
Qui peut aller dignement estimer
La Sapience, ou l’apprendre, et
l’acquerre ?
Qui la connaît ? qui ses
trésors
enserre ?
Et qui se fait par elle renommer ?
Ainsi disait jadis
l’Ecclésiastique,
Plein d’un esprit
devin,
et Prophétique :
Hardi taxant les hommes
de son temps.
En nous aussi manque la
Sapience :
Mais en Dieu
seul, rempli de prescience,
Elle fleurit comme un
nouveau
Printemps.
Qui nombrera le
sablon
de la mer ?
Les gouttes
d’eau,
quand il pleut sur la terre ?
Les jours
du siècle ? et qui pourra
grand’erre
Et terre,
et Ciel,
au compas
exprimer ?
Qui peut aller dignement estimer
La Sapience, ou l’apprendre, et
l’acquerre ?
Qui la connaît ?
qui ses trésors
enserre ?
Et qui se fait par elle renommer ?
Ainsi disait jadis
l’Ecclésiastique,
Plein d’un esprit
devin,
et Prophétique :
Hardi taxant les hommes
de son temps.
En nous aussi manque la
Sapience :
Mais en Dieu
seul, rempli de prescience,
Elle fleurit comme un
nouveau
Printemps.
En ligne le 13/11/21.
Dernière révision le 13/11/21.