[…]
Aime-moi mon Thyrsis, car on verra la
Mer,
Sans ondes
et sans flots
pour jamais se calmer :
Les vents
ne sortir plus de leur
creuse
caverne,
Être sans puanteur
la profondeur
d’Averne,
Un amant
aggravé du sommeil
de Cacus,
Vénus
se réjouir sans
Cérès
et Bacchus,
Labourer les nuaux,
peindre le fil
de l’onde,
Rester sans mouvement cette
machine
ronde
Et se brouiller encor le
Chaos
tout assis :
Quand Iole aimera un autre que Thyrsis.
[…]
[…]
Aime-moi mon Thyrsis, car on verra
la Mer,
Sans ondes
et sans flots
pour jamais se calmer :
Les vents
ne sortir plus de leur
creuse
caverne,
Être sans puanteur
la profondeur
d’Averne,
Un amant
aggravé du sommeil
de Cacus,
Vénus
se réjouir sans
Cérès
et Bacchus,
Labourer les nuaux,
peindre le fil
de l’onde,
Rester sans mouvement cette
machine
ronde
Et se brouiller encor le
Chaos
tout assis :
Quand Iole aimera un autre que Thyrsis.
[…]
En ligne le
17/08/08.
Dernière révision le 17/04/22.