[…]
phelipot.
[…]
Et soit jour,
ou soit nuit,
je ne pense qu’en toi
Qui seule peux chasser mon chaleureux
émoi,
D’un clin
d’œil
seulement parsemant dans mon
âme
Un remède
à
l’horreur
de ma brûlante
flamme :
Témoin
m’en soit ce chêne,
où avec un couteau
J’ai gravé ce
quatrain
lequel me semble beau.
avant que
phelipot laisse sa francion,
diminuant l’ardeur
de son affection,
les
ruisseaux refuiront
jusque dans leur fontaine,
le
bouc sera sans barbe et
la brebis sans laine.
[…]
[…]
phelipot.
[…]
Et soit jour,
ou soit nuit,
je ne pense qu’en toi
Qui seule peux chasser mon chaleureux
émoi,
D’un clin
d’œil
seulement parsemant dans mon
âme
Un remède
à
l’horreur
de ma brûlante
flamme :
Témoin
m’en soit ce chêne,
où avec un couteau
J’ai gravé ce
quatrain
lequel me semble beau.
avant
que phelipot laisse sa francion,
diminuant l’ardeur
de son affection,
les
ruisseaux refuiront
jusque dans leur fontaine,
le
bouc sera sans barbe et
la brebis sans laine.
[…]
En ligne le 04/07/21.
Dernière révision le 17/12/22.