Balançant une
nef
sur les flots
orageux,
Comme qui des plus grands voit les
tragiques
jeux,
Que le docte
Garnier
aux Français
représente :
Encor que l’un ni
l’autre il n’éprouve et ne sente,
pourtantSi
ne les doit-il voir que les
larmes
aux yeux,
Et les soupirs
au cœur :
que vous fassiez, ô Dieux,
Que tel orage
ou rage
au loin de moi s’absente.
Et pourtantsi
les doit encor de loin encourager,
Et sûr par cris
et vœux
les tirer du danger,
En leur montrant le
port,
des mains
et de la tête.
Ainsi moi qui contemple et qui plains
votre mal,
Du port
je vous fais signe
allumant le fanal,
Pour vous faire écarter la
Colique
tempête.
COmme qui sûr et loin regarde une tourmente
Balançant une
nef
sur les flots
orageux,
Comme qui des plus grands voit les
tragiques
jeux,
Que le
docte
Garnier
aux Français
représente :
Encor que l’un
ni l’autre il
n’éprouve
et ne sente,
pourtantSi
ne les doit-il voir que les
larmes
aux yeux,
Et les soupirs
au cœur :
que vous fassiez,
ô Dieux,
Que tel orage
ou rage
au loin de moi s’absente.
Et
pourtantsi
les doit encor de loin encourager,
Et sûr par cris
et vœux
les tirer du danger,
En leur montrant le
port,
des mains
et de la tête.
Ainsi moi qui contemple et qui plains
votre mal,
Du port
je vous fais signe
allumant le fanal,
Pour vous faire écarter la
Colique
tempête.
En ligne le
08/01/24.
Dernière révision le 27/11/24.