[…]
Plutôt peut-on compter dans les
bords
écumeux
De l’Océan
chenu
le sable,
et tous les feux
Qu’en
paisible
minuit
le clair
Ciel
nous attise,
L’air
étant balayé des
froids
soupirs
de Bise :
Plutôt peut-on compter du
Printemps
les couleurs,
Les feuilles
des forêts,
de la terre
les fleurs,
Que les infections
qui tirent sur nos têtes
Du Ciel
armé,
noirci les
meurtrières
tempêtes :
Qu’on doute des
secrets,
nos yeux
ont vu comment
Ces hommes
vont bravant des femmes
l’ornement…
[…]
[…]
Plutôt peut-on compter dans les
bords
écumeux
De l’Océan
chenu
le sable,
et tous les feux
Qu’en
paisible
minuit
le clair
Ciel
nous attise,
L’air
étant balayé des
froids
soupirs
de Bise :
Plutôt peut-on compter du
Printemps
les couleurs,
Les feuilles
des forêts,
de la terre
les fleurs,
Que les infections
qui tirent sur nos têtes
Du Ciel
armé, noirci les
meurtrières
tempêtes :
Qu’on doute des
secrets,
nos yeux
ont vu comment
Ces hommes
vont bravant des femmes
l’ornement…
[…]
En ligne le
21/08/21.
Dernière révision le 30/04/24.