Faine. Douce, sauvage, engraissante ou engraississante.
C’est le fruit que rapporte le fau ou fouteau, duquel au bois se nourrissent les pourceaux.
Maurice de LA PORTE, Les
Épithètes, 1571,
f° 98v° [Gallica, NUMM-50715, PDF_203]
(texte modernisé).
[Porte-faine. Fau, fouteau ou hêtre.]
Faine. Douce, sauuage, engressante ou engressissante.
C’est le fruit que raporte le fau ou fouteau, duquel au bois se nourrissent les pourceaux.
Maurice de LA PORTE, Les
Epithetes, 1571,
f° 98v° [Gallica, NUMM-50715, PDF_203]
(texte original).
[Porte-faine. Fau, fouteau ou hestre.]