Les Épithètes
de Maurice de La Porte (1571)
Le Préam­bule des
innom­brables
««« nard »»»

 

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Nard. Soueffleu­rant, sty­rien, hui­leux, jaune, ty­ro­lien, odo­rant, li­quide, onc­tueux, assy­rien, flo­ris­sant, in­dien, aro­ma­tique.

Le vrai Nard gau­lois ou cel­tique, croît en Sty­rie, voi­sine d’Au­triche, et au com­té de Ty­rol qui est voi­sine du­dit pays : Sa plante est mince et pe­tite, la­quelle jette ses feuilles incar­nates, et les fleurs jaunes : On se sert seu­le­ment de sa ra­cine et tige, comme des par­ties plus odo­rantes, et aux­quelles gît sa pro­prié­té.

Maurice de LA PORTE, Les Épithètes, 1571,
f° 175r° [Gallica, NUMM-50715, PDF_356]
(texte modernisé).

[Voir aussi odeur bonne, par­fum, sen­teur et ambre, baume, en­cens, musc, myrrhe.]


 

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Nard. Soueffleu­rant, sti­rien, hui­leus, iaune, ty­ro­lien, odo­rant, li­quide, onc­tueus, assy­rien, flo­ris­sant, in­dien, aro­ma­tique.

Le vrai Nard gau­lois ou cel­tique, croist en Sti­rie, voi­sine d’Au­triche, & au com­té de Ty­rol qui est voi­sine du­dit païs : Sa plante est mince & pe­tite, la­quelle iette ses fueilles incar­nates, & les fleurs iaunes : On se sert seu­le­ment de sa ra­cine & tige, comme des par­ties plus odo­rantes, & aus­quelles gist sa pro­prie­té.

Maurice de LA PORTE, Les Epithetes, 1571,
f° 175r° [Gallica, NUMM-50715, PDF_356]
(texte original).

[Voir aussi odeur bonne, par­fum, sen­teur et ambre, baume, en­cens, musc, myrrhe.]

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