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« Aspics » ou « Aspic » dans :
Phi­lieul
1548 [1555]
~ Devers l’Au­rore… (Canz., 239)
Hes­teau
1578
~ Si je vis par la mort…
La Jessée
1583
~ Quand l’ami­tié…

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Aspic serpent. Morti­fère, som­meil­leux, peu-voyant, dan­ge­reux, vi­lain, for­mi­dable, en­flé, ve­ni­meux ou vé­né­neux, mé­chant.

L’Aspic s’enfle le col vou­lant je­ter son venin, et n’y a point de remède à sa mor­sure, sinon qu’on coupe tout ce qu’il a mor­du et sou­dai­ne­ment. Cette méchante bête a courte vue, et n’a les yeux au front, ains aux tempes.

Maurice de LA PORTE, Les Épithètes, 1571,
f° 24r°v° [Gallica, NUMM-50715, PDF_54_55]
(texte modernisé).

[Voir aussi basi­lic, dra­gon, Py­thon, ser­pent.]


 

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Aspic serpent. Mor­ti­fere, som­meil­leus, peu-voiant, dan­ge­reus, vi­lain, for­mi­dable, en­flé, ve­ni­meus ou ve­ne­neus, mes­chant.

L’Aspic s’enfle le col vou­lant iet­ter son venin, & n’i a point de remede à sa mor­sure, sinon qu’on couppe tout ce qu’il a mords & sou­dai­ne­ment. Ceste mes­chante beste a courte veuë, & n’a les ïeux au front, ains aux temples.

Maurice de LA PORTE, Les Epithetes, 1571,
f° 24r°v° [Gallica, NUMM-50715, PDF_54_55]
(texte original).

[Voir aussi basi­lic, dra­gon, Py­thon, ser­pent.]