Quand j’apperçoy
quelque traict
approchant
De tes beautez
dans une
belle
dame,
Soit de l’eclair
de ta
jumelle
flame,
Ou de ton ris
les plus fiers allechant :
Soit de ce
sein
deux
beaux
tresors
cachant,
Dont le toucher le
feu
mesmes enflâme,
Ou soit du
poil,
blond
tyran
de mon ame,
Soit du parler,
ou bien soit de ton
chant :
Soit d’un
beau
port,
d’un maniment
folatre,
D’un
petit
pied
glissant
que j’idolatre,
Ou soit du moins de tes
perfections,
Je suis contreint, charmé de
douce
rage,
En ton honneur
luy rendre quelque hommage,
Sans toutesfois changer mes
passions.
Quand j’apperçoy
quelque traict
approchant
De tes beautez
dans une
belle
dame,
Soit de l’eclair
de ta
jumelle
flame,
Ou de ton ris
les plus fiers allechant :
Soit de ce
sein
deux
beaux
tresors
cachant,
Dont le toucher le
feu
mesmes enflâme,
Ou soit du
poil,
blond
tyran
de mon ame,
Soit du parler,
ou bien soit de ton
chant :
Soit d’un
beau
port,
d’un maniment
folatre,
D’un
petit
pied
glissant
que j’idolatre,
Ou soit du moins de tes
perfections,
Je suis contreint, charmé de
douce
rage,
En ton honneur
luy rendre quelque hommage,
Sans toutesfois changer mes
passions.
En ligne le
07/09/21.
Dernière révision le 02/09/22.