Tout s’enfle contre moi,
tout m’assaut,
tout me tente,
Et
le
Monde, et la
Chair, et l’Ange
révolté,
Dont
l’onde, dont
l’effort,
dont le
charme
inventé,
Et
m’abîme,
Seigneur, et
m’ébranle,
et
m’enchante,
Quelle
nef, quel
appui, quelle
oreille
dormante,
Sans
péril, sans
tomber, et
sans être
enchanté,
Me don’ras-tu ? Ton
Temple
où vit ta
Sainteté,
Ton invincible
main, et ta
voix
si
constante.
Et
quoi ? mon Dieu,
je sens combattre maintes fois
Encore avec ton
Temple, et ta
main, et ta
voix,
Cet Ange
révolté, cette
chair, et ce
Monde.
Mais
ton
Temple
pourtant,
ta
main, ta
voix
sera
La
nef, l’appui, l’oreille,
où ce
charme
perdra,
Où mourra cet
effort,
où se rompra cette
Onde.
Tout s’enfle contre moi,
tout m’assaut,
tout me tente,
Et
le
Monde, et la
Chair, et l’Ange
révolté,
Dont
l’onde, dont
l’effort,
dont le
charme
inventé,
Et
m’abîme,
Seigneur, et
m’ébranle,
et
m’enchante,
Quelle
nef, quel
appui, quelle
oreille
dormante,
Sans
péril,
sans tomber, et sans
être enchanté,
Me don’ras-tu ? Ton
Temple
où vit ta
Sainteté,
Ton invincible
main, et ta
voix
si
constante.
Et quoi ? mon
Dieu,
je sens combattre maintes fois
Encore avec ton
Temple, et ta
main, et ta
voix,
Cet Ange
révolté, cette
chair, et ce
Monde.
Mais
ton
Temple
pourtant,
ta
main, ta
voix
sera
La
nef, l’appui, l’oreille,
où ce
charme
perdra,
Où mourra cet
effort,
où se rompra cette
Onde.
En ligne le
27/04/10.
Dernière révision le 05/11/23.