L.M.F.
IE
te salue o vermeillette
fante,
Qui viuement entre ces
flancs
reluis:
Ie te salue o bienheuré
pertuis,
Qui rens ma vie
heureusement
contante.
C’est toi qui fais, que plus ne
me tourmante
L’archer
volant,
qui causoit mes ennuis.
T’aiant tenu seulement quatre
nuis
Ie sen sa force
en moi desia plus lente.
O
petit
trou,
trou
mignard,
trou
velu
D’vn poil
folet
mollement
crespelu,
Qui a ton gré domtes les plus rebelles,
Tous
vers
galans deuoient pour t’honorer
A beaus
genous
te venir adorer
Tenans au poin leurs
flambantes
chandelles.
L.M.F.
IE
te ſalue o vermeillette
fante,
Qui viuement entre ces
flancs
reluis:
Ie te ſalue o bienheuré
pertuis,
Qui rens ma vie
heureuſement
contante.
C’eſt
toi qui fais, que plus ne
me tourmãte
L’archer
volant,
qui cauſoit mes ennuis.
T’aiant tenu
ſeulement quatre
nuis
Ie ſen ſa force
en moi deſia plus lente.
O
petit
trou,
trou
mignard,
trou
velu
D’vn
poil
folet
mollement
creſpelu,
Qui a ton gré domtes les plus rebelles,
Tous
vers
galans deuoient pour t’honorer
A beaus
genous
te venir adorer
Tenans au poin leurs
flambantes
chandelles.
En ligne le
17/03/17.
Dernière révision le 09/04/25.