Ô doux parler, dont
l’appât doucereux
Nourrit encor la faim de ma mémoire,
Ô front, d’Amour le Trophée et la
gloire,
Ô ris sucrés, ô baisers savoureux.
Ô cheveux d’or,
ô coteaux plantureux
De lis, d’œillets, de Porphyre, et
d’ivoire,
Ô feux jumeaux dont le Ciel me fit boire
À si longs traits le venin amoureux.
Ô vermillons, ô
perlettes encloses,
Ô diamants, ô lis pourprés de roses,
Ô chant qui peux les plus durs émouvoir,
Et dont l’accent dans les
âmes demeure.
Et dea beautés, reviendra jamais l’heure
Qu’entre mes bras je vous puisse ravoir ?
Ô
Doux parler, dont l’appât doucereux
Nourrit encor la faim de ma mémoire,
Ô front, d’Amour le Trophée et la
gloire,
Ô ris sucrés, ô baisers
savoureux :
Ô cheveux d’or,
ô coteaux plantureux
De lis, d’œillets, de Porphyre, et
d’ivoire,
Ô feux jumeaux dont le ciel me fit boire
À si longs traits le venin amoureux.
Ô vermillons, ô
perlettes encloses,
Ô diamants, ô lis pourprés de roses,
Ô chant qui peux les plus durs émouvoir,
Et dont l’accent dans les
âmes demeure :
Et dea beautés reviendra jamais l’heure
Qu’entre mes bras je vous puisse ravoir ?
Ô
Doux parler, dont l’appât doucereux
Nourrit encor la faim de ma mémoire,
Ô front, d’Amour le Trophée et la
gloire,
Ô doux
souris,
ô baisers savoureux :
Ô cheveux d’or,
ô coteaux plantureux
De lis, d’œillets, de Porphyre, et
d’ivoire,
Ô feux jumeaux dont le ciel me fit boire
À si longs traits le venin amoureux.
Ô vermillons, ô
perlettes encloses,
Ô diamants, ô lis pourprés de roses,
Ô chant qui peux les Scythes
émouvoir,
Et dont l’accent dans les
âmes demeure :
Et dea beautés reviendra jamais l’heure
Qu’entre mes bras je vous puisse ravoir ?
Ô
Doux parler, dont l’appât doucereux
Nourrit toujours
la faim de ma mémoire :
Ô front, d’Amour le Trophée et la gloire,
Ô doux souris,
ô baisers savoureux :
Ô cheveux d’or,
ô coteaux plantureux
De lis, d’œillets, de porphyre, et
d’ivoire :
Ô feux jumeaux, dont le ciel me fit boire
À si longs traits le venin amoureux :
Ô vermillons, ô
perlettes encloses,
Ô diamants, ô lis pourprés de roses,
Ô chant qui peux émouvoir
un Lion,
Et dont l’accent
nos âmes vient
époindre :
Ô corps parfait, de tes beautés la moindre
Mérite seule un siège d’Ilion.
Ô
Doux parler, dont l’appât doucereux
Nourrit encor la faim de ma mémoire,
Ô front, d’Amour le Trophée et la gloire,
Ô ris sucrés, ô baisers
savoureux :
Ô cheveux d’or,
ô
coteaux plantureux
De lis, d’œillets, de Porphyre, et
d’ivoire,
Ô feux jumeaux dont le ciel me fit boire
À si longs traits le venin amoureux.
Ô vermillons, ô
perlettes encloses,
Ô diamants, ô lis pourprés de roses,
Ô chant qui peux les plus durs émouvoir,
Et dont l’accent dans les
âmes demeure :
Et dea beautés reviendra jamais l’heure
Qu’entre mes bras je vous puisse ravoir ?
O
Doux parler, dont l’appât doucereux
Nourrit encor la fin de ma mémoire,
Ô front, d’Amour le Trophée et la gloire,
Ô doux
souris,
ô baisers savoureux :
Ô cheveux d’or,
ô coteaux plantureux
De lis, d’œillets, de Porphyre, et
d’ivoire,
Ô feux jumeaux dont le ciel me fit boire
À si longs traits le venin amoureux.
Ô vermillons, ô
perlettes encloses,
Ô diamants, ô lis pourprés de roses,
Ô chant qui peux les Scythes
émouvoir,
Et dont l’accent dans les
âmes demeure :
Et dea beautés reviendra jamais l’heure
Qu’entre mes bras je vous puisse ravoir ?
Ô
Doux parler, dont l’appât doucereux
Nourrit toujours
la faim de ma mémoire :
Ô front, d’Amour le Trophée et la gloire,
Ô doux souris,
ô baisers savoureux :
Ô cheveux d’or,
ô coteaux plantureux
De lis, d’œillets, de porphyre, et
d’ivoire :
Ô feux jumeaux, dont le ciel me fit boire
À si longs traits le venin amoureux :
Ô vermillons, ô
perlettes encloses,
Ô diamants, ô lis pourprés de roses,
Ô chant qui peux émouvoir un
Lion,
Et dont l’accent
nos âmes vient
époindre :
Ô corps
parfait, de tes beautés la moindre
Mérite seule un siège
d’Ilion.
Ô Doux parler dont les mots doucereux
Sont
engravés au fond de ma
mémoire :
Ô front, d’Amour le Trophée et la gloire,
Ô doux souris,
ô baisers savoureux :
Ô cheveux d’or,
ô coteaux plantureux,
De lis, d’œillets, de porphyre, et
d’ivoire :
Ô feux jumeaux d’où
le Ciel me fit boire
À si longs traits le venin amoureux :
Ô dents,
plutôt blanches perles encloses,
Lévres,
rubis,
entre-rangés de roses,
Ô voix
qui peux adoucir
un Lion,
Dont
le doux chant
l’oreille
me vient poindre :
Ô corps parfait, de tes
beautés la moindre
Mérite seule un siège d’Ilion.
textes
modernisés
[R]
En ligne le 09/02/13.
Dernière révision le 10/03/22.