Oncques
trait, flamme
ou
lacs
d’amoureuse
fallace
N’a point,
brûlé,
lié, si
dur,
froid,
détaché
Cœur,
comme était le mien, blessé,
ars,
attaché
Misérable
qui est en si
pénible
chasse.
Ferme
et gelé
trop plus que le
marbre
et
la
glace,
Libre et franc je
n’avais
crainte
d’être empêché
De plaie,
feu,
prison,
mais vivement touché
M’a
l’arc,
m’a le
brasier,
m’a la
rets
qui me lace.
Transfix,
défait je
suis et tellement
étreint
Qu’autre cœur
que le mien n’ouvre,
[n’]enflambe
ou
ceint
Dard, brandon
ni
lien
de rigueur
plus
extrême.
Et ne
peut advenir que le nœud, feu
et
sang
Qui m’étreint,
me consomme
et
m’abreuve
le flanc
Délie,
éteigne,
étanche autre
que la mort
même.
Oncques
trait,
flamme
ou
lacs
d’amoureuse
fallace
N’a point,
brûlé,
lié, si
dur,
froid,
détaché
Cœur,
comme était le mien, blessé,
ars,
attaché
Misérable
qui est en si
pénible
chasse.
Ferme
et
gelé
trop plus que le
marbre
et
la
glace,
Libre et franc je
n’avais
crainte
d’être empêché
De plaie, feu, prison,
mais vivement touché
M’a
l’arc,
m’a le
brasier,
m’a la
rets
qui me lace.
Transfix,
défait je
suis et tellement
étreint
Qu’autre cœur
que le mien n’ouvre,
[n’]enflambe
ou
ceint
Dard, brandon
ni
lien
de rigueur
plus
extrême.
Et ne
peut advenir que le nœud, feu
et
sang
Qui m’étreint,
me consomme
et
m’abreuve
le flanc
Délie,
éteigne,
étanche autre
que la mort
même.
En ligne le
04/03/14.
Dernière révision le 14/01/23.