[…]
C’est un Esprit
vivant,
duquel l’être est commun
Aux trois, qu’un
vrai
parler
pourrait dire Très-un.
C’est un nombre qu’on nombre, et qu’on ne
nombre encore.
Trois personnes je nombre, une essence j’adore.
Mais où jà de mes
vers
va le cours
vagabond ?
Populace
arrêtez, gardez le
pied
du mont,
Et sobres, attendez qu’un très-luisant
Moïse,
Redescendant
instruit,
plus avant vous instruise.
Ce sont des
champs,
des monts,
des abîmes,
des Cieux,
Si larges,
si
hautains,
si bas,
si
radieux,
Que ni flèche,
ni pied,
ni sonde, ni paupière,
N’atteint le bout,
le haut,
le fond,
ni la lumière.
[…]
[…]
C’est un
Esprit
vivant,
duquel l’être
est commun
Aux trois,
qu’un
vrai
parler
pourrait dire Très-un.
C’est un nombre
qu’on
nombre, et
qu’on ne
nombre encore.
Trois personnes je nombre,
une essence j’adore.
Mais où jà de mes
vers
va le cours
vagabond ?
Populace
arrêtez, gardez
le pied
du mont,
Et sobres, attendez
qu’un
très-luisant
Moïse,
Redescendant
instruit, plus avant vous instruise.
Ce sont des
champs,
des monts,
des abîmes,
des Cieux,
Si larges, si
hautains,
si bas, si
radieux,
Que ni flèche,
ni pied, ni sonde,
ni paupière,
N’atteint le
bout,
le haut,
le fond,
ni la lumière.
[…]
En ligne le
18/11/25.
Dernière révision le 18/11/25.