J’ai le
bien
de penser que vous êtes divine,
Et que nul trait
de mal
ne vous peut offenser :
Et contre mes ennuis
j’ai le bien
de penser
Que le ciel
vous tira hors de notre ruine.
J’ai
plaisir
de portraire et d’enluminer
l’hymne
De vos perfections
qu’on me voit avancer,
J’ai le
contenterment
de combattre et forcer
Pour vous le temps
rongeur
et la Parque
maline :
J’ai l’heur que de
revoir votre face
et vos yeux
En celui qui nous vint par
miracle
des cieux :
Dedans son petit front
votre image
est assise,
Je n’ai
bien
qu’à le voir, je le baise couché,
Mais à fleur de
berceau
sur sa face
penché
Je prends tout doucement le
chemin
de Narcise.
J’ai le
bien
de penser que vous êtes divine,
Et que nul trait
de mal
ne vous peut offenser :
Et contre mes ennuis
j’ai le bien
de penser
Que le ciel
vous tira hors de notre ruine.
J’ai
plaisir
de portraire et d’enluminer
l’hymne
De vos perfections
qu’on me voit avancer,
J’ai le
contenterment
de combattre et forcer
Pour vous le temps
rongeur
et la Parque
maline :
J’ai l’heur que de
revoir votre face
et vos yeux
En celui qui nous vint par
miracle
des cieux :
Dedans son petit front
votre image
est assise,
Je n’ai
bien
qu’à le voir, je le baise couché,
Mais à fleur de
berceau
sur sa face
penché
Je prends tout doucement le
chemin
de Narcise.
En ligne le
26/06/16.
Dernière révision le 30/08/21.