I
O
Somme
trop
fascheux,
tant long temps combatu,
Te campant à l’entour de mon
front,
de ma teste,
Ton charme
ensorcelleur à m’attaquer
s’appreste :
Va t’en. A quel
propos
tant outrageux m’es tu ?
Venez tost mes
demons,
monstrez vostre vertu,
Courez à mon
secours,
que vostre force
preste
Rompe l’endormeur
coup
de la
morne
tempeste
Dont ce
fort
combatant me veut rendre abatu.
Ne vous emparessez, courez à
ce forceur,
Arrachez de ses bras
son baston
terrasseur,
Baston
à mon cerueau
trop dommageable
peste :
Autrement tous ces
vers
vouëz à vostre nom
S’en vont en
grand
hazard
de perdre le beau reste
Que vous leur promettez d’un
eternel
renom.
I
O
Somme
trop
fascheux,
tant long temps combatu,
Te campant à l’entour de mon
front,
de ma teste,
Ton charme
ensorcelleur à m’attaquer
s’appreste :
Va t’en. A quel
propos
tant outrageux m’es tu ?
Venez tost mes
demons,
monstrez vostre vertu,
Courez à mon
secours,
que vostre force
preste
Rompe l’endormeur
coup
de la
morne
tempeste
Dont ce
fort
combatant me veut rendre abatu.
Ne vous emparessez, courez à
ce forceur,
Arrachez de ses bras
son baston
terrasseur,
Baston
à mon cerueau
trop dommageable
peste :
Autrement tous ces
vers
vouëz à vostre nom
S’en vont en
grand
hazard
de perdre le beau reste
Que vous leur promettez d’un
eternel
renom.
En ligne le
24/01/14.
Dernière révision le 02/05/21.