Celui qui nombrerait dedans
l’humide
plaine,
Le troupeau
écaillé
ou du
luisant
Soleil,
Les rayons
infinis,
hôtes
de son réveil,
Ou du
bleu
Océan
le Sablon
et l’Arène,
Comme Tirésias il se verrait
en peine,
Ou posant mal son jet abuserait son
œil,
S’il cuidait de Madame
ouvrage
nonpareil,
Calculer le parfait des grâces
qu’elle est pleine,
Tant de
flots
Aquilon,
ne souffle sur la Mer,
Tant d’Oiseaux
on ne voit de deux ailes
ramer,
Le
Perleux
Orient
tant de gemmes
n’enserre
Comme elle a de
Beautés
qui la font admirer,
Comme elle a de bonheur qui la fait adorer,
Et comme elle a
d’honneur
comme Déesse
en terre.
Celui qui nombrerait dedans
l’humide
plaine,
Le troupeau
écaillé
ou du
luisant
Soleil,
Les rayons
infinis,
hôtes
de son réveil,
Ou du
bleu
Océan
le Sablon
et l’Arène,
Comme Tirésias il se verrait
en peine,
Ou posant mal son jet abuserait son
œil,
S’il cuidait de Madame
ouvrage
nonpareil,
Calculer le parfait des grâces
qu’elle est pleine,
Tant de
flots
Aquilon,
ne souffle sur la Mer,
Tant d’Oiseaux
on ne voit de deux ailes
ramer,
Le
Perleux
Orient
tant de gemmes
n’enserre
Comme elle a de
Beautés
qui la font admirer,
Comme elle a de bonheur qui la fait adorer,
Et comme elle a
d’honneur
comme Déesse
en terre.
En ligne le
06/07/05.
Dernière révision le 05/03/23.