Toute la
mer
ie ueux epuiser de ses
eaux,
Ie ueu de monts
combler des airs
tout ce
grand
uide,
Si de mon estomac
pousser dehors ie cuide
Toutz mes ennuis
cruels
y surcroissans nouueaux.
Plus tot iront coulant au rebours les
ruisseaux,
Que de son mal
felon
ma poitrine
ie uide
Que la dame
aux beaux
yeux
dont la clarté
me guide,
Me confortant d’un clin serêne ses
yeux
beaux:
Ses
beaux
yeux
etoylez
en qui mon astre
eclaire,
Astre
qui peut acoup ou de sa
flamme
claire,
Calmer les flots
mutins
contre ma
fraile
nef,
Ou me la foudroiant de sa
tempeste
trouble,
Brisee en cent eclatz, la renfondrer au double
Dans la
fiere
tourmente,
en un pire mechef.
Toute
la mer
ie ueux epuiſer de ſes
eaux,
Ie ueu de
monts
combler des airs
tout ce
grand
uide,
Si de mon
eſtomac
pouſſer dehors ie cuide
Toutz mes
ennuis
cruels
y ſurcroiſſans nouueaux.
Plus
tot iront coulant au rebours les
ruiſſeaux,
Que de ſon
mal
felon
ma poitrine
ie uide,
Que la
dame
aux beaux
yeux
dont la clarté
me guide,
Me confortant
d’un clin
ſerêne ſes
yeux
beaux:
Ses
beaux
yeux
etoylez
en qui mon astre
eclaire,
Astre
qui peut acoup ou
de ſa
flamme
claire,
Calmer les
flots
mutins
contre ma
fraile
nef,
Ou
me la foudroiant de ſa
tempeſte
trouble,
Briſee en cent
eclatz, la renfondrer au
double
Dans la
fiere
tourmente,
en un pire mechef.
En ligne le
05/01/25.
Dernière révision le 05/01/25.