««« gland »»»

« gland » dans :
Perrin
1574
~ Toujours au plain des champs…
Du Bartas
1578
~ [Et de vrai, si d’un rien…

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Gland. Sau­vage, tom­bant, chê­neux, pen­dant, nour­ri­cier ou nour­ris­sant, fruc­tueux, viande à porcs, en­grais­sant ou en­grais­sis­sant, ca­duc, fo­res­tier.

Il y a plu­sieurs sortes d’arbres qui portent Gland, les­quels néan­moins sont dif­fé­rents et en fruit, et en ter­ri­toire, et en sexe, et en goût. Les Espa­gnols usent encore aujour­d’hui du Gland des petits chênes, dits des Latins Escu­lus, et en font du pain qu’ils appellent Veil­lo­tas.

Maurice de LA PORTE, Les Épithètes, 1571,
f° 114v° [Gallica, NUMM-50715, PDF_235]
(texte modernisé).

[Aime-gland. San­glier.]

[Porte-gland. Chêne, fo­rêt, yeuse.]

[Voir aussi faine et fau, fou­teau ou hêtre]


 

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Gland. Sau­uage, tom­bant, ches­neus, pen­dant, nour­ri­cier ou nour­ris­sant, fruc­tueus, viande à porcs, en­gres­sant ou en­gres­sis­sant, ca­duque, fo­res­tier.

Il y a plu­sieurs sortes d’arbres qui portent Gland, les­quels nean­moins sont dif­fe­rens & en fruit, & en ter­ri­toire, & en sexe, & en goust. Les Espa­gnols vsent encores auiour­dhui du Gland des petis chesnes, dits des Latins Escu­lus, & en font du pain qu’ils appellent Veil­lo­tas.

Maurice de LA PORTE, Les Epithetes, 1571,
f° 114v° [Gallica, NUMM-50715, PDF_235]
(texte original).

[Aime-gland. San­glier.]

[Porte-gland. Chesne, fo­rest, ieuse.]

[Voir aussi faine et fau, fou­teau ou hestre]