Les Épithètes
de Maurice de La Porte (1571)
Le Préam­bule des
innom­brables
««« mé­lisse »»»

 

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Mélisse. Odo­rante, sub­tile, douce, éjouis­sante, forte, ci­tron­nière, con­for­tante.

Cette herbe réjouit le cœur, et for­ti­fie les esprits vi­taux, par son odeur, et par l’âpre­té de son goût, et la sub­ti­li­té qui est en elle.

Maurice de LA PORTE, Les Épithètes, 1571,
f° 162v° [Gallica, NUMM-50715, PDF_331]
(texte modernisé).

[Voir aussi plante.]


 

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Melisse. Odo­rante, sub­tile, douce, esioüis­sante, forte, ci­tron­niere, con­for­tante.

Ceste herbe resioüit le cueur, & for­ti­fie les esprits vi­taus, par son odeur, & par l’aspre­té de son goust, & la sub­ti­li­té qui est en elle.

Maurice de LA PORTE, Les Epithetes, 1571,
f° 162v° [Gallica, NUMM-50715, PDF_331]
(texte original).

[Voir aussi plante.]

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