««« aiguil­lon »»»

« aiguil­lon » ou « aiguil­lons » dans :
Pele­tier
1555
~ Fortune, Amour…
Jo­delle
1574
~ J’aime le vert laurier…
Hes­teau
1578
~ D’une incroyable amour…
~ La Nature a don­né…
Louven­court
1595
~ Je n’ai pas sitôt pris…
Malde­ghem
1606
~ Le jour, le mois, et l’an… (Canz., 61)
Claude Gar­nier
1609
~ Mes ans plus beaux…

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¶ « d’un fort aiguil­lon » (Louven­court) : du vit
 

Aiguillon. Poi­gnant, âpre, mor­dant, poin­tu, sti­mu­lant, pro­vo­queur, chasse-bœuf, épe­ron­neux.

Maurice de LA PORTE, Les Épithètes, 1571,
f° 9v° [Gallica, NUMM-50715, PDF_25]
(texte modernisé).

[Richesse est appe­lée […] l’aiguil­lon des convoi­teux]

[Aiguil­lon­nant /-ante. Abeille, ennui, épe­ron, fre­lon, pointe.]

[Aiguillon­née. Épine.]

[Voir aussi houlette et mouches à miel.]


 

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Aiguillon ou Aguil­lon. Poi­gnant, aspre, mor­dant, poin­tu, sti­mu­lant, pro­uo­queur, chasse-beuf, espe­ron­neus.

Maurice de LA PORTE, Les Epithetes, 1571,
f° 9v° [Gallica, NUMM-50715, PDF_25]
(texte original).

[Richesse est appel­lee […] l’aguil­lon des conuoi­teus]

[Aguil­lon­nant /-ante. Abeille, ennui, espe­ron, fres­lon, poincte.]

[Aguillon­nee. Espine.]

[Voir aussi houlette et mouches à miel.]