[…]
Je vous laisse juger quelle fut ma
misère,
Et s’il n’eût pas moyen
d’assouvir sa colère :
Celui
compte les feux
des
Hivernales
nuits,
Qui nombrera les maux
que j’ai reçus depuis :
Moins de Cygnes
voit-on aux bords
de la Tamise,
De Truites
dans la Touvre, à l’entour de
Venise
De Gondoles
sur l’onde :
et d’un saut
folleton
Bondissent moins de Veaux,
parmi le champ
Breton :
Las ! il s’arma si bien,
qu’éblouissant ma
vue,
À moi-même il m’ôta,
sitôt que je l’eus vue :
[…]
[…]
Je vous laisse juger quelle fut ma
misère,
Et s’il
n’eût
pas moyen d’assouvir
sa colère :
Celui
compte les feux
des
Hivernales
nuits,
Qui nombrera les maux
que j’ai
reçus depuis :
Moins de Cygnes
voit-on aux bords
de la Tamise,
De Truites
dans la Touvre,
à l’entour
de Venise
De Gondoles
sur l’onde :
et d’un
saut
folleton
Bondissent moins de Veaux,
parmi le champ
Breton :
Las ! il s’arma
si bien,
qu’éblouissant
ma
vue,
À moi-même il m’ôta,
sitôt que je l’eus
vue :
[…]
En ligne le 01/01/22.
Dernière révision le 07/11/24.