Par le milieu d’un
pertuis
quelquefois
On voit grand’chose, un
fleuve,
une rivière,
Un tertre,
un mont,
une campagne
entière,
Une forêt,
des châteaux
et des bois.
En tes
beaux
yeux,
tout de même, je vois
Chose bien grande, en tes
yeux
(ma
guerrière)
Dont la splendeur
et la
vive
lumière
Paissent mon cœur
de cent biens
à la fois.
J’y vois les
Cieux
et toutes leurs essences,
J’y vois les Dieux et toutes leurs
puissances,
J’y vois la grâce
et j’y vois la
beauté :
J’y vois des
Camps
hérissés de
gens
d’armes,
Bref, en tes yeux
qui me font tant
d’alarmes,
J’y vois le monde
et son infinité.
Par le milieu d’un
pertuis
quelquefois
On voit grand’chose, un
fleuve,
une rivière,
Un tertre,
un mont,
une campagne
entière,
Une forêt,
des châteaux
et des bois.
En tes
beaux
yeux,
tout de même, je vois
Chose bien grande, en tes
yeux
(ma
guerrière)
Dont la splendeur
et la
vive
lumière
Paissent mon cœur
de cent biens
à la fois.
J’y vois les
Cieux
et toutes leurs essences,
J’y vois les Dieux et toutes leurs
puissances,
J’y vois la grâce
et j’y vois la
beauté :
J’y vois des
Camps
hérissés de
gens
d’armes,
Bref, en tes yeux
qui me font tant
d’alarmes,
J’y vois le monde
et son infinité.
En ligne le
30/03/14.
Dernière révision le 15/10/22.