Cueillons les
fraîches
fleurs
de la
verte
Jeunesse,
Quand notre
doux
Avril
nous permet le repos,
Et la
vive
Saison,
que la
fière
Atropos,
De son trait
acéré
la Poitrine
ne blesse.
Pendant que notre
corps
rempli de Gentillesse,
D’une
mâle
vigueur
se montre plus dispos,
’’ Le cours
ailé
des ans,
n’est toujours à propos,
N’attendons follement la
tremblante
vieillesse.
Celle, ou celui, n’a pas de
soi-même pitié,
Qui se prive du fruit
d’une
douce
amitié,
Et tirant de ses flancs
mille soupirs
ensemble,
Maudit
l’heure,
et le jour,
de sa nativité,
Si de ce
doux
Nectar
n’a jeunement goûté,
Quand la
blanche
Toison
à ses Tempes
s’assemble.
Cueillons les
fraîches
fleurs
de la
verte
Jeunesse,
Quand notre
doux
Avril
nous permet le repos,
Et la
vive
Saison, que la
fière
Atropos,
De son trait
acéré
la Poitrine
ne blesse.
Pendant que notre
corps
rempli de Gentillesse,
D’une
mâle
vigueur
se montre plus dispos,
’’
Le cours
ailé
des ans,
n’est toujours
à propos,
N’attendons
follement la
tremblante
vieillesse.
Celle,
ou celui,
n’a pas de
soi-même pitié,
Qui se prive du fruit
d’une
douce
amitié,
Et tirant de ses flancs
mille soupirs
ensemble,
Maudit
l’heure,
et le jour,
de sa nativité,
Si de ce
doux
Nectar
n’a jeunement
goûté,
Quand la
blanche
Toison
à ses Tempes
s’assemble.
En ligne le
28/09/10.
Dernière révision le 11/11/24.