««« fu­mées de cerf »»»

 

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Fumées de Cerf. Longues, ointes, for­mées, grosses, mou­lues, nouées.

Ce mot n’est seu­le­ment par­ti­cu­lier au Cerf, mais à toutes bêtes vivantes de brout : tout ain­si que l’ex­cré­ment des bêtes puantes se nomme fientes, celui des bêtes mor­dantes s’appelle Laisses, celui des Lièvres et Con­nils est nom­mé Crottes, et celui des Loutres s’appelle épreintes.

Maurice de LA PORTE, Les Épithètes, 1571,
f° 109r° [Gallica, NUMM-50715, PDF_224]
(texte modernisé).

[Voir aussi aronde ou aron­delle et merde.]


 

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Fumees de Cerf. Longues, oinctes, for­mees, grosses, mou­leues, nouees.

Ce mot n’est seu­le­ment par­ti­cu­lier au Cerf, mais à toutes bestes viuantes de broust: tout ain­si que l’ex­cre­ment des bestes puantes se nomme fiantes, celui des bestes mor­dantes s’appelle Lesses, celui des Lieures & Con­nils est nom­mé Crottes, & celui des Lautres s’appelle espraintes.

Maurice de LA PORTE, Les Epithetes, 1571,
f° 109r° [Gallica, NUMM-50715, PDF_224]
(texte original).

[Voir aussi aronde ou aron­delle et merde.]