Comme un Chevreuil, quand le printemps
détruit
L’oiseux cristal de la morne gelée,
Pour mieux brouter l’herbette emmiellée
Hors de son bois avec l’Aube s’enfuit.
Et seul, et sûr, loin de
chiens et de bruit,
Or sur un mont, or dans une vallée,
Or près d’une onde à
l’écart recelée,
Libre folâtre où son pied le conduit.
De rets ni d’arc sa
liberté n’a crainte,
Sinon alors que sa vie est atteinte,
D’un trait meurtrier empourpré de son
sang :
Ainsi j’allais sans espoir de
dommage,
Le jour qu’un œil sur l’avril de mon
âge
Tira d’un coup mille traits dans mon flanc.
COmme
un Chevreuil, quand le printemps détruit
L’oiseux cristal de la morne gelée,
Pour mieux brouter
la feuille
emmiellée,
Hors de son bois avec l’Aube s’enfuit :
Et seul, et sûr, loin de
chiens et de bruit,
Or sur un mont, or dans une vallée,
Or près d’une onde à
l’écart recelée,
Libre folâtre où son pied le conduit.
De rets ni d’arc sa
liberté n’a crainte,
Sinon alors que sa vie est atteinte,
D’un trait meurtrier empourpré de son
sang :
Ainsi j’allais sans espoir de
dommage,
Le jour qu’un œil sur
l’Avril de mon
âge
Tira d’un coup mille traits dans mon flanc.
COmme un
Chevreuil, quand le
printemps détruit
Du
froid hiver
la poignante gelée,
Pour mieux brouter
la feuille
emmiellée,
Hors de son bois avec
l’Aube
s’enfuit :
Et
seul, et sûr, loin de chiens et de bruit,
Or sur un mont, or dans une
vallée,
Or près
d’une onde à
l’écart recelée,
Libre,
folâtre où son pied le conduit.
De
rets ni d’arc sa liberté n’a crainte,
Sinon alors que sa vie est
atteinte,
D’un trait
meurtrier empourpré de son sang :
Ainsi
j’allais sans espoir de dommage,
Le jour qu’un
œil sur
l’Avril
de mon âge
Tira d’un coup
mille traits dans mon flanc.
COmme
un Chevreuil, quand le printemps détruit
Du froid
hiver
la poignante gelée,
Pour mieux brouter
la feuille
emmiellée,
Hors de son bois avec l’Aube s’enfuit :
Et seul, et sûr, loin de
chiens et de bruit,
Or sur un mont, or dans une vallée,
Or près d’une onde à
l’écart recelée,
Libre, folâtre
où son pied le conduit.
De rets ni d’arc sa
liberté n’a crainte,
Sinon alors que sa vie est atteinte,
D’un trait meurtrier empourpré de son
sang :
Ainsi j’allais sans espoir de
dommage,
Le jour qu’un œil sur
l’Avril de mon
âge
Tira d’un coup mille traits
en mon flanc.
COmme
un Chevreuil, quand le printemps détruit
L’oiseux cristal de la morne gelée,
Pour mieux brouter
la feuille
emmiellée,
Hors de son bois avec l’Aube s’enfuit :
Et seul, et sûr, loin de
chiens et de bruit,
Or sur un mont, or dans une vallée,
Or près d’une onde à
l’écart recelée,
Libre folâtre où son pied le conduit.
De rets ni d’arc sa
liberté n’a crainte,
Sinon alors que sa vie est atteinte,
D’un trait meurtrier empourpré de son
sang :
Ainsi j’allais sans espoir de
dommage,
Le jour qu’un œil sur
l’Avril de mon
âge
Tira d’un coup mille traits dans mon flanc.
COmme un
Chevreuil, quand le
printemps détruit
Du
froid hiver
la poignante gelée,
Pour mieux brouter
la feuille
emmiellée,
Hors de son bois avec
l’Aube
s’enfuit :
Et
seul, et sûr, loin de chiens et de bruit,
Or sur un mont, or dans une
vallée,
Or près
d’une onde à
l’écart recelée,
Libre,
folâtre où son pied le conduit.
De
rets ni d’arc sa liberté n’a crainte,
Sinon alors que sa vie est
atteinte,
D’un trait
meurtrier empourpré de son sang :
Ainsi
j’allais sans espoir de dommage,
Le jour qu’un
œil sur
l’Avril
de mon âge
Tira d’un coup
mille traits dans mon flanc.
COmme
un Chevreuil, quand le printemps détruit
Du froid
hiver
la poignante gelée,
Pour mieux brouter
la feuille
emmiellée,
Hors de son bois avec l’Aube s’enfuit :
Et seul, et sûr, loin de
chiens et de bruit,
Or sur un mont, or dans une vallée,
Or près d’une onde à
l’écart recelée,
Libre, folâtre
où son pied le conduit.
De rets ni d’arc sa
liberté n’a crainte,
Sinon alors que sa vie est atteinte,
D’un trait meurtrier empourpré de son
sang :
Ainsi j’allais sans espoir de
dommage,
Le jour qu’un œil sur
l’Avril de mon
âge
Tira d’un coup mille traits
en mon flanc.
textes
modernisés
[R]
En ligne le
21/01/21.
Dernière révision le 06/07/22.