Les Épithètes
de Maurice de La Porte (1571)
Le Préam­bule des
innom­brables
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Poix. Li­quide, glu­ti­neuse, épaisse, noire, lente, dure, pi­neuse, cou­lante, in­dienne, crue, ré­si­neuse, na­vale, c.-à-d. dont on poisse les na­vires.

La bonne poix se fait des arbres venant ès con­trées expo­sées au soleil, et à la bise, comme est le Pin : Au con­traire celle qui se fait du bois qui croît ès lieux om­bra­geux est laide à l’œil, et est puante.

Maurice de LA PORTE, Les Épithètes, 1571,
f° 212r° [Gallica, NUMM-50715, PDF_430]
(texte modernisé).

[Poissé. Cable.]

[Poisseuse. Lumière.]

[Regoldron­née, c.-à-d. pois­sée. Nau, nave, na­vire ou nef.]

[voir aussi glu.]


 

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Poix. Li­quide, glu­ti­neuse, espaisse, noire, lente, dure, pin­neuse, cou­lante, in­dienne, crue, re­si­neuse, na­uale, I. dont on poisse les na­uires.

La bonne poix se fait des arbres venans és con­trees expo­sees au soleil, & à la bise, comme est le Pin : Au con­traire celle qui se fait du bois qui croist és lieux om­bra­geus est laide à l’œil, & est puante.

Maurice de LA PORTE, Les Epithetes, 1571,
f° 212r° [Gallica, NUMM-50715, PDF_430]
(texte original).

[Poissé. Chable.]

[Poisseuse. Lumiere.]

[Regoldron­nee, I. pois­see. Nau, naue, na­uire ou nef.]

[voir aussi gluz.]

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