Ni ce corail, qui double se compasse,
Sur mainte perle entée doublement,
Ni cette bouche ou vit fertilement
Un mont d’odeurs qui le Liban surpasse,
Ni ce bel or qui frisé
s’entrelace
En mille nœuds mignardés gayement,
Ni ces œillets égalés uniment
Au blanc des lis encharnés dans sa face :
Ni de ce front le beau ciel
éclairci,
Ni le double arc de ce double sourcil,
N’ont à la mort ma vie abandonnée:
Seuls vos beaux yeux
(où le certain
archer,
Pour me tuer d’aguet)
se vint cacher
Devant le soir finissent ma journée.
NI
ce corail, qui double se compasse,
Sur mainte perle entée doublement,
Ni cette bouche ou vit fertilement
Un mont d’odeurs qui le Liban surpasse,
Ni ce bel or qui frisé
s’entrelace
En mille nœuds mignardés gayement,
Ni ces œillets égalés uniment
Au blanc des lis encharnés dans sa face,
Ni de ce front le beau ciel
éclairci,
Ni le double arc de ce double sourcil,
N’ont à la mort ma vie
abandonnée :
Seuls vos beaux yeux (où le
certain archer,
Pour me tuer d’aguet se vint cacher)
Devant le soir finissent ma journée.
NI
ce corail, qui double se compasse,
Sur mainte perle entée doublement,
Ni cette bouche ou vit fertilement
Un mont d’odeurs qui le Liban surpasse,
Ni ce bel or qui frisé
s’entrelace
En mille nœuds crêpés
folâtrement,
Ni ces œillets égalés uniment
Au blanc des lis encharnés dans sa face,
Ni de ce front le beau ciel
éclairci,
Ni le double arc de ce double sourcil,
N’ont à la mort ma vie
abandonnée :
Seuls vos beaux yeux (où le
certain archer,
Pour me tuer d’aguet se vint cacher)
Devant le soir finissent ma journée.
NI
ce corail, qui double se compasse,
Sur mainte perle un trésor
d’Orient,
Ni ces beaux lis, qu’Amour
en suppliant
Ose baiser, et iamais ne s’en lasse :
Ni ce bel or qui frisé
s’entrelace
En mille nœuds crêpés
folâtrement,
Ni ces œillets égalés uniment
Au blanc des lis encharnés dans sa face :
Ni de ce front le beau ciel
éclairci,
Ni le double arc de ce double sourcil,
N’ont à la mort ma vie condamnée:
Seuls les
beaux yeux (où
le certain Archer,
Pour me tuer sa flèche
vint cacher)
Devant le soir finissent ma journée.
NI
ce corail, qui double se compasse,
Sur mainte perle entée doublement,
Ni cette bouche ou vit fertilement
Un mont d’odeurs qui le Liban surpasse,
Ni ce bel or qui frisé
s’entrelace
En mille nœuds mignardés gayement,
Ni ces œillets égalés uniment
Au blanc des lis encharnés dans sa face,
Ni de ce front le beau ciel
éclarci,
Ni le double arc de ce double sourcil,
N’ont à la mort ma vie
abandonnée :
Seuls vos beaux yeux (où le
certain archer,
Pour me tuer d’aguet se vint cacher)
Devant le soir finissent ma journée.
NI
ce corail, qui double se compasse,
Sur mainte perle entée doublement,
Ni cette bouche ou vit fertilement
Un mont d’odeurs qui le Liban surpasse,
Ni ce bel or qui frisé
s’entrelace
En mille nœuds crêpés
folâtrement,
Ni ces œillets égalés uniment
Au blanc des lis encharnés dans sa face,
Ni de ce front le beau ciel
éclairci,
Ni le double arc de ce double sourcil,
N’ont à la mort ma vie
abandonnée :
Seuls vos beaux yeux (où le
certain archer,
Pour me tuer d’aguet se vint cacher)
Devant le soir finissent ma journée.
NI
ce corail, qui double se compasse,
Sur mainte perle un
trésor
d’Orient,
Ni ces beaux lis,
qu’Amour
en suppliant
Ose baiser, et jamais ne s’en lasse :
Ni ce bel or qui frisé
s’entrelace
En mille nœuds crêpés
folâtrement,
Ni ces œillets égalés uniment
Au blanc des lis encharnés dans sa face :
Ni de ce front le beau ciel
éclairci,
Ni le double arc de ce double sourcil,
N’ont à la mort ma vie
condamnée :
Seuls les
beaux yeux (où
le certain Archer,
Pour me tuer sa
flèche
vint cacher)
Devant le soir finissent ma journée.
NI ce corail qui double se compasse,
Sur mainte perle, un
trésor d’Orient,
Ni ces beaux lis, qu’Amour
en suppliant
Ose baiser, et jamais ne s’en lasse :
Ni ce bel or qui frisé
s’entrelace
En mille nœuds crêpés
folâtrement,
Ni ces œillets égalés
proprement
Au blanc des lis encharnés dans sa face :
Ni de ce front le beau ciel
éclairci,
Ni le double arc de ce double sourcil,
N’ont à la mort ma vie
condamnée :
Seuls les
beaux yeux (où
le certain Archer,
Pour me tuer sa flèche
vint cacher)
Devant le soir finissent ma journée.
textes
modernisés
[R]
En ligne le 03/02/13.
Dernière révision le 18/03/24.