Soit que son or se crêpe
lentement,
Ou soit qu’il
vague en deux glissantes
ondes,
Qui çà qui là par le sein
vagabondes,
Et sur le col, nagent
folâtrement.
Ou soit qu’un
nœud diapré tortement
De maints rubis,
et maintes perles rondes,
Serre les flots de ses deux tresses
blondes,
Je me contente en mon contentement.
Quel plaisir
est-ce,
ainçois quelle merveille
Quand ses cheveux troussés
dessus l’oreille
D’une
Vénus imitent la façon ?
Quand d’un
bonnet son chef elle adonise,
Et qu’on ne sait
(tant bien elle
déguise
Son chef douteux)
s’elle est fille
ou garçon ?
SOit
que son or se crêpe
lentement,
Ou soit qu’il
vague en deux glissantes
ondes,
Qui çà qui là par le sein
vagabondes,
Et sur le col, nagent
folâtrement.
Ou soit qu’un
nœud diapré tortement
De maints rubis et maintes perles rondes,
Serre les flots de ses deux tresses
blondes,
Je me contente en mon contentement.
Quel plaisir
est-ce,
ainçois quelle merveille,
Quand ses cheveux troussés
dessus l’oreille
D’une
Vénus imitent la façon ?
Quand d’un
bonnet son chef elle
Adonise,
Et qu’on ne sait
(tant bien elle
déguise
Son chef douteux,)
s’elle est fille
ou garçon ?
SOit
que son or se crêpe
lentement,
Ou soit qu’il
vague en deux glissantes
ondes,
Qui çà qui là par le sein
vagabondes,
Et sur le col nagent folâtrement.
Ou
soit qu’un
nœud diapré tortement
De maints rubis et maintes
perles rondes,
Serre les flots de ses deux tresses
blondes,
Mon cœur se plaît
en son contentement.
Quel
plaisir est-ce,
ainçois quelle merveille,
Quand ses cheveux troussés dessus
l’oreille
D’une
Vénus imitent la façon ?
Quand
d’un
bonnet son chef elle
Adonise,
Et qu’on
ne sait (tant bien elle
déguise
Son chef douteux,)
s’elle est fille
ou garçon ?
SOit
que son or se crêpe
lentement,
Ou soit qu’il
vague en deux glissantes
ondes,
Qui çà qui là par le sein
vagabondes,
Et sur le col nagent
folâtrement :
Ou
soit qu’un
nœud diapré tortement
De maints rubis et maintes
perles rondes,
Serre les flots de ses deux
tresses blondes,
Mon cœur se plaît
en son contentement.
Quel
plaisir est-ce,
ainçois quelle merveille,
Quand ses cheveux troussés dessus
l’oreille,
D’une
Vénus imitent la façon ?
Quand
d’un bonnet
sa tête elle
Adonise,
Et qu’on
ne sait s’elle
est fille ou garçon,
Tant en ces deux sa beauté se déguise ?
SOit
que son or se crêpe
lentement,
Ou soit qu’il
vague en deux glissantes
ondes,
Qui çà qui là par le sein
vagabondes,
Et sur le col, nagent
folâtrement.
Ou soit qu’un
nœud diapré tortement
De maints rubis et maintes perles rondes,
Serre les flots de ses deux tresses
blondes,
Je me contente en mon contentement.
Quel plaisir
est-ce,
ainçois quelle merveille,
Quand ses cheveux troussés
dessus l’oreille
D’une
Vénus imitent la façon ?
Quand d’un
bonnet son chef elle
Adonise,
Et qu’on ne sait
(tant bien elle
déguise
Son chef douteux,)
s’elle est fille
ou garçon ?
SOit
que son or se crêpe
lentement,
Ou soit qu’il
vague en deux glissantes
ondes,
Qui çà qui là par le sein
vagabondes,
Et sur le col nagent folâtrement.
Ou
soit qu’un
nœud diapré tortement
De maints rubis et maintes
perles rondes,
Serre les flots de ses deux tresses
blondes,
Mon cœur se plaît
en son contentement.
Quel
plaisir est-ce,
ainçois quelle merveille,
Quand ses cheveux troussés dessus
l’oreille
D’une
Vénus imitent la façon ?
Quand
d’un
bonnet son chef elle
Adonise,
Et qu’on
ne sait (tant bien elle
déguise
Son chef douteux,)
s’elle est fille
ou garçon ?
SOit
que son or se crêpe
lentement,
Ou soit qu’il
vague en deux glissantes
ondes,
Qui çà qui là par le sein
vagabondes,
Et sur le col nagent
folâtrement :
Ou
soit qu’un
nœud diapré tortement
De maints rubis et maintes
perles rondes,
Serre les flots de ses deux
tresses blondes,
Mon cœur se plaît
en son contentement.
Quel
plaisir est-ce,
ainçois quelle merveille,
Quand ses cheveux troussés dessus
l’oreille,
D’une
Vénus imitent la façon ?
Quand
d’un bonnet
sa tête elle
Adonise,
Et qu’on
ne sait s’elle
est fille ou garçon,
Tant en ces deux sa beauté se déguise ?
SOit que son or se crêpe lentement,
Ou soit qu’il
vague en deux glissantes
ondes,
Qui çà qui là par le sein
vagabondes,
Et sur le col nagent
folâtrement :
Ou
soit qu’un
nœud illustré
richement
De maints rubis et maintes
perles rondes,
Serre les flots de ses deux
tresses blondes,
Mon cœur se plaît
en son contentement.
Quel
plaisir est-ce,
ainçois quelle merveille,
Quand ses cheveux troussés dessus
l’oreille,
D’une
Vénus imitent la façon ?
Quand
d’un bonnet
sa tête elle
Adonise,
Et qu’on
ne sait s’elle
est fille ou garçon,
Tant sa beauté en tous deux
se déguise ?
textes
modernisés
[R]
En ligne le
02/02/25.
Dernière révision le 02/02/25.