[…]
X.
Quiconque est assorti d’une
femme
prudente
Il la doit plus chérir qu’une
perle
excellente,
L’aimer uniquement comme un
don
du Seigneur :
Mais qui la peut avoir comme toi
belle
et
sage,
Encore a-t-il raison
de l’aimer davantage,
Car c’est grâce
sur grâce,
et bonheur sur bonheur.
X I.
Pour compter les valeurs d’une
épouse
si belle,
Qu’on nombre les
bouquets
de la saison
nouvelle,
Les baisers
des pigeons
bec
à bec
se suçant,
Les grains d’une
moisson,
les eaux
d’une rivière,
L’herbe
d’un pâturage
en sa vigueur
première,
Mais si on faut d’un brin qu’on en ajoute cent.
[…]
[…]
X.
Quiconque est assorti d’une
femme
prudente
Il la doit plus chérir qu’une
perle
excellente,
L’aimer uniquement comme un
don
du Seigneur :
Mais qui la peut avoir comme toi
belle
et
sage,
Encore a-t-il raison
de l’aimer davantage,
Car c’est grâce
sur grâce,
et bonheur sur bonheur.
X I.
Pour compter les valeurs d’une
épouse
si belle,
Qu’on nombre les
bouquets
de la saison
nouvelle,
Les baisers
des pigeons
bec
à bec
se suçant,
Les grains d’une
moisson,
les eaux
d’une rivière,
L’herbe
d’un pâturage
en sa vigueur
première,
Mais si on faut d’un brin qu’on en ajoute cent.
[…]
Version de 1590 en ligne le
21/07/10,
remplacée par la version de 1585 le 16/11/19.
Dernière révision le 23/04/22.