ET la mer et l’amour ont l’amer pour partage,
Et la
mer
est amère
et l’amour
est amer,
L’on s’abîme en
l’amour
aussi bien qu’en la
mer,
Car la mer
et l’amour
ne sont point sans orage.
Celui qui craint les
eaux
qu’il demeure au
rivage,
Celui qui craint les maux
qu’on souffre pour aimer,
Qu’il ne se laisse pas à
l’amour
enflammer,
Et tous deux ils seront sans
hasard
de naufrage.
La
mère
de l’amour
eut la mer
pour berceau,
Le feu
sort de l’amour,
sa mère
sort de l’eau,
Mais l’eau
contre ce feu
ne peut fournir des armes.
Si
l’eau
pouvait éteindre un
brasier
amoureux,
Ton amour
qui me brûle est si fort douloureux,
Que j’eusse éteint son
feu
de la mer
de mes larmes.
ET la mer et l’amour ont l’amer pour partage,
Et la
mer
est amère
et l’amour
est amer,
L’on s’abîme en
l’amour
aussi bien qu’en la
mer,
Car la mer
et l’amour
ne sont point sans orage.
Celui qui craint les
eaux
qu’il demeure au
rivage,
Celui qui craint les maux
qu’on souffre pour aimer,
Qu’il ne se laisse pas à
l’amour
enflammer,
Et tous deux ils seront sans
hasard
de naufrage.
La
mère
de l’amour
eut la mer
pour berceau,
Le feu
sort de l’amour,
sa mère
sort de l’eau,
Mais l’eau
contre ce feu
ne peut fournir des armes.
Si
l’eau
pouvait éteindre un
brasier
amoureux,
Ton amour
qui me brûle est si fort douloureux,
Que j’eusse éteint son
feu
de la mer
de mes larmes.
En ligne le
11/03/12.
Dernière révision le 21/04/21.