[…]
Il
n’est point tant d’envie,
Ni tant de
divers
noms,
Tant d’arène
d’Asie,
Ni de grains
de sablons,
Que j’ai de
triste
oppresse,
Pour ma
belle
Maîtresse,
Mais las ! hélas !
Ce qui plus fort me blesse,
Elle ne le croit pas.
[…]
Qui veut nommer
l’encombre,
Qui
Amoureux
me suit,
Qu’il fasse plutôt
nombre
Des flambeaux
de la nuit,
Des flots
de la marée,
Quand elle est
courroucée,
Des malcontents
La grand’
troupe
amassée,
Et des fleurs
du Printemps.
[…]
[…]
Il
n’est point tant d’envie,
Ni tant de
divers
noms,
Tant d’arène
d’Asie,
Ni de grains
de sablons,
Que j’ai de
triste
oppresse,
Pour ma
belle
Maîtresse,
Mais las ! hélas !
Ce qui plus fort me blesse,
Elle ne le croit pas.
[…]
Qui veut nommer
l’encombre,
Qui
Amoureux
me suit,
Qu’il fasse plutôt
nombre
Des flambeaux
de la nuit,
Des flots
de la marée,
Quand elle est
courroucée,
Des malcontents
La grand’
troupe
amassée,
Et des fleurs
du Printemps.
[…]
En ligne le 29/05/21.
Dernière révision le 10/10/23.