[…]
L’onde
argentine
ne couvre
Tant de Truites
dans ta Touvre,
Tant de doux-mourants oiseaux
Ne blanchissent sur ses eaux,
Il n’y a dans ta Braconne
Tant de
divers
animaux,
Que le Ciel
vengeur
me donne
À l’envi de
maux
sur maux.
L’Hiver
si dru ne saccage
Les forêts
de leur feuillage,
Si dru en Mai
les prés
verts
Ne sont d’herbes
recouverts,
Si dru la grêle
n’outrage
Le dos
du vieil
Apennin,
Que le Ciel
enflé de rage
Vomit sur moi son venin.
[…]
[…]
L’onde
argentine
ne couvre
Tant de Truites
dans ta Touvre,
Tant de doux-mourants oiseaux
Ne blanchissent sur ses eaux,
Il n’y a dans ta Braconne
Tant de
divers
animaux,
Que le Ciel
vengeur
me donne
À l’envi de
maux
sur maux.
L’Hiver
si dru ne saccage
Les forêts
de leur feuillage,
Si dru en Mai
les prés
verts
Ne sont d’herbes
recouverts,
Si dru la grêle
n’outrage
Le dos
du vieil
Apennin,
Que le Ciel
enflé de rage
Vomit sur moi son venin.
[…]
En ligne le
28/04/14.
Dernière révision le 23/07/23.