Bienheureux
l’an,
et jour,
et ces champs
solitaires
Qui furent honorés, quand Madame naquit :
Bienheureux le Château
qui ce
beau
los
acquit,
Bienheureux père, et
mère,
et ses sœurs,
et ses frères.
Bienheureux son parrain, et ses
amis
prospères,
Bienheureux qui premier de sa
beauté
s’enquit :
Bienheureuse à son
tour
la femme
qu’on requit
Pour lui tendre, et bailler, ses
mamelles
laitières.
Bienheureux le
séjour
où la Nymphe
se plaît,
Bienheureux le mari
pour qui jà mûre elle est,
Bienheureux qui la voit si gentille, et si belle.
Bienheureux qui l’accoste, et
lui voue sa foi :
Et bienheureux aussi qui l’aime comme moi,
Moi plus heureux que tous, si j’étais
aimé d’elle !
Bienheureux
l’an,
et jour,
et ces champs
solitaires
Qui furent honorés, quand Madame naquit :
Bienheureux le Château
qui ce
beau
los
acquit,
Bienheureux père, et
mère,
et ses sœurs,
et ses frères.
Bienheureux son parrain, et ses
amis
prospères,
Bienheureux qui premier de sa
beauté
s’enquit :
Bienheureuse à son
tour
la femme
qu’on requit
Pour lui tendre, et bailler, ses
mamelles
laitières.
Bienheureux le
séjour
où la Nymphe
se plaît,
Bienheureux le mari
pour qui jà mûre elle est,
Bienheureux qui la voit si gentille, et si belle.
Bienheureux qui l’accoste, et
lui voue sa foi :
Et bienheureux aussi qui l’aime comme moi,
Moi plus heureux que tous, si j’étais
aimé d’elle !
En ligne le
15/06/12.
Dernière révision le 10/04/22.