Comme
le Marinier
agité de
l’Orage,
Présageant le
danger,
poussé
d’affection,
Pour refuge
certain
plein de dévotion,
Supplie l’Éternel
le conduire au rivage.
Dressant
ses yeux
au Ciel,
ses mains,
et son courage,
Et ne retient en soi
imagination,
Que des flots,
de la mort,
et de l’affliction,
Tremblant de désespoir
idéant le naufrage.
Ombragé de la
mort
j’attends même
secours,
Implorant la faveur
du Dieu
où j’ai recours,
Voyant à Mât
rompu
mon vaisseau dessus
l’onde,
Me jugeant à ma fin, et
Roi
des malheureux,
Si je ne suis tiré des
écueils
dangereux,
Par la
Divinité
que j’adore en ce
monde.
Comme
le Marinier
agité de
l’Orage,
Présageant le
danger,
poussé
d’affection,
Pour refuge
certain
plein de dévotion,
Supplie l’Éternel
le conduire au rivage.
Dressant
ses yeux
au Ciel,
ses mains,
et son courage,
Et ne retient en soi
imagination,
Que des flots,
de la mort,
et de l’affliction,
Tremblant de désespoir
idéant le naufrage.
Ombragé de la
mort
j’attends même
secours,
Implorant la faveur
du Dieu
où j’ai recours,
Voyant à Mât
rompu
mon vaisseau dessus
l’onde,
Me jugeant à ma fin, et
Roi
des malheureux,
Si je ne suis tiré des
écueils
dangereux,
Par la
Divinité
que j’adore en ce
monde.
En ligne le
13/08/20.
Dernière révision le 16/10/22.