PLutôt
de l’Univers cette ronde Encyclie
On pourrait voir changer en carré sa
rondeur,
Et
la terre
élever sa creuse profondeur
Sur la hauteur du ciel,
qui d’astres est remplie,
Plutôt
on pourrait voir dedans la mer
polie
Éclairer du Soleil
la naïve splendeur,
Et
dans le ciel
flotter des hurques la
grandeur,
Que je mette en oubli
Christ
qui m’a anoblie.
Quand
l’agneau
et le loup
ensemble hanteront,
Et
dans un même trou leurs fils
enfanteront,
Et
le feu dedans
l’eau de l’eau
prendra naissance.
Quand
le jour sera nuit,
et la nuit jour vermeil,
Oublier je pourrai le Christ
mon seul Soleil,
Qui de son clair
reluit dedans ma conscience.
PLutôt
de l’Univers cette ronde Encyclie
On pourrait voir changer en carré sa
rondeur,
Et
la terre
élever sa creuse profondeur
Sur la hauteur du
ciel,
qui d’astres est remplie,
Plutôt
on pourrait voir dedans la mer
polie
Éclairer du Soleil
la naïve splendeur,
Et
dans le ciel
flotter des hurques la
grandeur,
Que je mette en oubli
Christ
qui m’a anoblie.
Quand
l’agneau
et le loup
ensemble hanteront,
Et
dans un même trou leurs fils
enfanteront,
Et
le feu dedans
l’eau de l’eau
prendra naissance.
Quand
le jour sera
nuit, et la
nuit jour
vermeil,
Oublier je pourrai le Christ
mon seul Soleil,
Qui de son clair
reluit dedans ma conscience.
En ligne le 23/08/21.
Dernière révision le 28/11/24.