PLutôt
le ciel
voûté privé de sa lumière
Avecques ses flambars
en mer abîmera,
Et
dans son sein courbé sans eau animera
Les esturgeons
privés de leur eau coutumière,
Et
la mer
élevée en
la sphère première,
Dedans son sein mouillé la Lune
enfermera,
Qui
là de son vermeil
un jour allumera,
Que je mette en oubli
ma Christine
guerrière.
Quand
on verrait la terre
en l’air tourner en rond,
Et l’air tenir
le lieu du centre plus profond,
Le
feu
changer son sec en quelque eau
cristalline,
Quand
on verrait le monde
aller tout au rebours,
Changer
en noires nuits la
clarté de ses jours,
Si n’oublierais-je point le
beau
nom de Christine.
PLutôt
le ciel
voûté privé de sa lumière
Avecques ses flambars
en mer abîmera,
Et
dans son sein courbé sans eau animera
Les esturgeons
privés de leur eau coutumière,
Et
la mer
élevée en
la sphère première,
Dedans son sein mouillé la Lune
enfermera,
Qui
là de son vermeil un jour
allumera,
Que je mette en oubli
ma Christine
guerrière.
Quand
on verrait la terre
en l’air tourner en rond,
Et l’air tenir
le lieu du centre plus profond,
Le
feu
changer son sec en quelque eau
cristalline,
Quand
on verrait le monde
aller tout au rebours,
Changer
en noires nuits la
clarté de ses jours,
Si n’oublierais-je point le
beau
nom de Christine.
En ligne le 26/08/21.
Dernière révision le 25/02/24.