Quand la
fureur,
qui bat les
grands
coupeaux,
Hors de mon cœur
l’Olive arrachera,
Avec
le chien
le loup
se couchera,
Fidèle garde aux timides troupeaux.
Le
ciel, qui voit avec tant de flambeaux,
Le violent de son cours
cessera,
Le
feu sans chaud, et sans
clarté sera,
Obscur
le rond des deux astres
plus beaux.
Tous
animaux changeront de
séjour
L’un avec l’autre, et
au plus clair du jour
Ressemblera la nuit
humide, et sombre,
Des
prés seront semblables les couleurs,
La
mer sans eau,
et
les forêts sans ombre,
Et
sans odeur les roses,
et les fleurs.
Quand la
fureur,
qui bat les
grands
coupeaux,
Hors de mon cœur
l’Olive arrachera,
Avec
le chien
le loup
se couchera,
Fidèle garde aux timides troupeaux.
Le
ciel, qui voit avec tant de flambeaux,
Le violent de son cours
cessera,
Le
feu sans chaud, et sans
clarté sera,
Obscur
le rond des deux astres
plus beaux.
Tous
animaux changeront de
séjour
L’un avec l’autre, et
au plus clair du jour
Ressemblera la nuit
humide, et sombre,
Des
prés seront semblables les couleurs,
La
mer sans eau,
et
les forêts sans ombre,
Et
sans odeur les roses,
et les fleurs.
En ligne le 18/09/21.
Dernière révision le 03/10/21.