Que Gâtine ait tout le chef
jaunissant
De maint citron et mainte belle orange,
Que toute odeur de toute terre étrange,
Aille partout nos plaines remplissant.
Le Loir soit lait, son rempart
verdissant,
En un tapis d’émeraudes se change,
Et le sablon, qui dans Braye se range,
D’arènes d’or soit partout blondissant.
Pleuve le ciel des parfums et
des roses,
Soient des grands vents les haleines encloses,
La mer soit calme, et l’air plein de bonheur :
Voici le jour, que l’enfant
de mon maître,
Naissant au monde, au monde a fait renaître,
La foi première, et le premier honneur.
QUe
Gâtine ait tout le chef jaunissant
De maint citron et mainte belle orange,
Que toute odeur de toute terre étrange,
Aille partout nos plaines remplissant.
Le Loir soit lait, son rempart
verdissant,
En un tapis d’émeraudes se change,
Et le sablon, qui dans Braye se range,
D’arènes d’or soit partout blondissant.
Pleuve le ciel des parfums et
des roses,
Soient des grands vens les haleines encloses,
La mer soit calme, et l’air plein de bonheur :
Voici le jour, que l’enfant
de mon maitre,
Naissant au monde, au monde a fait renaitre,
La foi première, et le premier honneur.
QVe
Gâtine ait tout le chef jaunissant
De maint citron et mainte belle orange,
Que toute odeur de toute terre étrange,
Aille partout nos plaines remplissant.
Le Loir soit lait, son rempart
verdissant,
En un tapis d’émeraudes se change,
Et le sablon, qui dans Braye se range,
D’arènes d’or soit partout blondissant.
Pleuve le ciel des parfums et
des roses,
Soient des grands vents les haleines encloses,
La mer soit calme, et l’air plein de bonheur :
Voici le jour, que l’enfant
de mon maitre,
Naissant au monde, au monde a fait renaitre,
La foi première, et le premier honneur.
QUe
Gâtine ait tout le chef jaunissant
De maint citron et mainte belle orange :
Que toute odeur de toute terre étrange,
Aille par tout nos vergers
remplissant :
Le Loir soit lait, son rempart
verdissant
En un tapis d’émeraudes se change :
Et le sablon, qui dans Braye se range,
D’arènes d’or soit partout blondissant.
Pleuve le Ciel des parfums et
des roses,
Soient des grands vents les haleines encloses,
La mer soit calme, et l’air plein de bonheur :
Ce
jour naquit l’héritier de mon
maître.
File-lui, Parque,
un beau filet
d’honneur,
Puis aille au Ciel de Nectar
se repaître.
textes
modernisés
[R]
En ligne le 08/03/14.
Dernière révision le 22/01/22.