Le feu jumeau de Madame
brûlait
Par le rayon de sa flamme divine,
L’amas pleureux d’une obscure bruine
Qui de leur jour la lumière celait.
Un bel argent chaudement
s’écoulait
Dessus sa joue, en la gorge ivoirine,
Au paradis de sa chaste poitrine,
Où l’Archerot ses flèches
émoulait.
De neige tiède
était sa face pleine,
D’or ses cheveux, ses deux sourcils
d’ébène,
Ses yeux m’étaient un bel astre fatal :
Roses et lis, où la
douleur contrainte
Formait l’accent de sa juste complainte,
Feu ses soupirs, ses larmes un cristal.
LE
feu jumeau de Madame brûlait
Par le rayon de sa flamme divine,
L’amas pleureux d’une obscure bruine
Qui de leur jour la lumière celait.
Un bel argent chaudement
s’écoulait
Dessus sa joue, en la gorge ivoirine,
Au paradis de sa chaste poitrine,
Où l’Archerot ses flèches
émoulait.
De neige tiède
était sa face pleine,
D’or ses cheveux, ses deux sourcils
d’ébène,
Les yeux
m’étaient un bel astre fatal :
Roses et lis, où la
douleur contrainte
Formait l’accent de sa juste complainte,
Feu ses soupirs, ses larmes un cristal.
LE
feu jumeau de Madame
brûlait
Par le rayon de
leur flamme divine,
L’amas pleureux
d’une obscure bruine
Qui de leur jour la
lumière celait.
Un
bel argent chaudement s’écoulait
Dessus sa joue, en la gorge
ivoirine,
Au beau
séjour de sa chaste poitrine,
Où
l’Archerot ses
fléches émoulait.
De
neige tiède était sa face pleine,
D’or ses cheveux,
ses deux sourcils d’ébène,
Les
yeux m’étaient un bel astre fatal :
Roses
et lis, où la douleur contrainte
Formait l’accent
de sa juste complainte,
Feu ses soupirs, ses larmes
un cristal.
LE
feu jumeau de Madame brûlait
Par le rayon de leur
flamme divine,
L’amas pleureux d’une obscure bruine
Qui de leur jour la lumière celait.
Un bel argent chaudement
s’écoulait
Dessus sa joue, en la gorge ivoirine,
Au beau sejour de sa
chaste poitrine,
Où l’Archerot ses flèches
émoulait.
De neige tiède
était sa face pleine,
D’or ses cheveux, ses deux sourcils
d’ébène,
Ses
yeux luisaient comme un
astre fatal :
Roses et lis, où la
douleur contrainte
Formait l’accent de sa juste complainte,
Feu ses soupirs, ses larmes un cristal.
LE
feu jumeau de Madame brûlait
Par le rayon de sa flamme divine,
L’amas pleureux d’une obscure bruine
Qui de leur jour la lumière celait.
Un bel argent chaudement
s’écoulait
Dessus sa joue, en la gorge ivoirine,
Au paradis de sa chaste poitrine,
Où l’Archerot ses flèches
émoulait.
De neige tiède
était sa face pleine,
D’or ses cheveux, ses deux sourcils
d’ébène,
Les yeux
m’étaient un bel astre fatal :
Roses et lis, où la
douleur contrainte
Formait l’accent de sa juste complainte,
Feu ses soupirs, ses larmes un cristal.
LE feu jumeau de
Madame brûlait
Par le rayon de
leur flamme divine,
L’amas pleureux
d’une obscure bruine
Qui de leur jour la
lumière celait.
Un
bel argent chaudement s’écoulait
Dessus sa joue, en la gorge
ivoirine,
Au beau
sejour
de sa chaste poitrine,
Où
l’Archerot ses
fléches émoulait.
De
neige tiède était sa face pleine,
D’or ses cheveux,
ses deux sourcils d’ébène,
Les
yeux m’étaient un bel astre fatal :
Roses
et lis, où la douleur contrainte
Formait l’accent
de sa juste complainte,
Feu ses soupirs, ses larmes
un cristal.
LE
feu jumeau de Madame brûlait
Par le rayon de leur
flamme divine,
L’amas pleureux d’une obscure bruine
Qui de leur jour la lumière celait.
Un bel argent chaudement
s’écoulait
Dessus sa joue, en la gorge ivoirine,
Au beau sejour de sa
chaste poitrine,
Où l’Archerot ses flèches
émoulait.
De neige tiède
était sa face pleine,
D’or ses cheveux, ses deux sourcils
d’ébène,
Ses
yeux luisaient comme un
astre fatal :
Roses et lis, où la
douleur contrainte
Formait l’accent de sa juste complainte,
Feu ses soupirs, ses larmes un cristal.
LE
feu jumeau de ma dame
brûlait
Par le rayon de leur
flamme divine,
L’amas pleureux d’une obscure bruine,
Qui de leur jour la lumière celait.
Un bel argent chaudement
s’écoulait
Dessus sa joue, en la gorge ivoirine,
Au beau séjour
de sa chaste poitrine,
Où l’Archerot ses flèches
émoulait.
De neige tiède
était sa face pleine,
D’or ses cheveux, ses deux sourcils
d’ébene,
Ses
yeux luisaient comme un
astre fatal :
Roses et lis, où la
douleur contrainte
Formait l’accent de sa juste complainte,
Feu ses souspirs, ses larmes un cristal.
textes
modernisés
[R]
En ligne le
10/09/14.
Dernière révision le 11/02/22.