[…]
Aime-moi mon Thyrsis, car
on verra la Mer,
Sans ondes et sans flots pour jamais se calmer :
Les
vents ne sortir plus de
leur creuse caverne,
Être
sans puanteur la profondeur d’Averne,
Un
amant aggravé
du sommeil de Cacus,
Vénus se
réjouir sans Cérès et Bacchus,
Labourer
les nuaux,
peindre
le fil de l’onde,
Rester
sans mouvement cette machine ronde
Et
se brouiller encor le Chaos
tout assis :
Quand Iole aimera un autre que Thyrsis.
[…]
[…]
Aime-moi mon Thyrsis, car
on verra la Mer,
Sans ondes et sans flots pour jamais se calmer :
Les
vents ne sortir plus de
leur creuse caverne,
Être
sans puanteur la profondeur d’Averne,
Un
amant aggravé
du sommeil de Cacus,
Vénus se
réjouir sans Cérès et Bacchus,
Labourer
les nuaux,
peindre
le fil de l’onde,
Rester
sans mouvement cette machine ronde
Et
se brouiller encor le Chaos
tout assis :
Quand Iole aimera un autre que Thyrsis.
[…]
En ligne le 17/04/22.
Dernière révision le 17/04/22.