Les Épithètes
de Maurice de La Porte (1571)
Le Préam­bule des
innom­brables
««« di­thy­rambes »»»

 

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Dithyrambes. Dé­ré­glés, joyeux, thé­bains, bac­chides, gais, au­da­cieux.

Les Dithy­rambes sont ain­si appe­lés d’un qui avait ce même nom natif de Thèbes, le­quel on dit que pre­mier il com­po­sa les vers que l’on chan­tait en l’hon­neur de Bac­chus.

Maurice de LA PORTE, Les Épithètes, 1571,
f° 83v° [Gallica, NUMM-50715, PDF_173]
(texte modernisé).

[Voir aussi évoé, Iacche, thiase ; voir en­core élé­gie, ode, sa­tire, son­net et poésie, poète.]


 

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Dithyrambes. Des­rei­glés, ioïeus, the­bains, bac­chides, gais, au­da­cieus.

Les Dithy­rambes sont ain­si appel­lez d’vn qui auoit ce mesme nom natif de Thebes, le­quel on dit que pre­mier il com­po­sa les vers que l’on chan­toit en l’hon­neur de Bac­chus.

Maurice de LA PORTE, Les Epithetes, 1571,
f° 83v° [Gallica, NUMM-50715, PDF_173]
(texte original).

[Voir aussi euoé, Iacche, thyase ; voir en­core ele­gie, ode, sa­tyre, son­net et poesie, poete.]

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