««« Ara­chne »»»

« Arachné » ou « Arachne » dans :
Tyard
1551
~ En ta prison…
Jo­delle
1574
~ Myrrhe brû­lait jadis…

~#~














voir aussi
« Arachne » selon
# Mar­cas­sus, 1623.
 

Arachne. Ly­dienne, in­gé­nieuse, fi­lan­dière, idmo­nienne, ou­vrière, in­dus­trieuse.

Arachne fille d’Idmon fut la pre­mière filan­dière du monde et qui inven­ta la manière de faire filets. Clos­ter aus­si son fils fut le pre­mier qui mon­tra à filer la laine.

Maurice de LA PORTE, Les Épithètes, 1571,
f° 20r°v° [Gallica, NUMM-50715, PDF_46_47]
(texte modernisé).


 

Pierre de MARCASSUS, 1623.
 

Arachne] C’était une fille d’Id­mon, la­quelle se vou­lut pré­fé­rer à Pal­las : mais son ouvrage ayant été mé­pri­sé, elle se pen­dit, et fut chan­gée en Arai­gnée. Lisez Ovide.

Pierre de MARCASSUS, Les Œuvres de Pierre de Ronsard, volume second, 1623, Les Poèmes de P. de Ronsard, avec les Remarques de P. de Mar­cas­sus, deuxième livre des Poèmes, « Para­doxe », p. 1279
[Gallica, ark:/12148/bpt6k1042597x, PDF_421].
(texte modernisé).


 

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Arachne. Ly­dienne, in­ge­nieuse, fi­lan­diere, idmo­nienne, ou­uriere, in­dus­trieuse.

Arachne fille d’Idmon fut la pre­miere filan­diere du monde & qui inuen­ta la maniere de faire filets. Clos­ter aus­si son fils fut le pre­mier qui mons­tra à filer la laine.

Maurice de LA PORTE, Les Epithetes, 1571,
f° 20r°v° [Gallica, NUMM-50715, PDF_46_47]
(texte original).



 

Pierre de MARCASSUS, 1623.
 

Arachne] C’estoit vne fille d’Id­mon, la­quelle se vou­lut pre­fe­rer à Pal­las : mais son ouurage ayant esté mes­pri­sé, elle se pen­dit, & fut chan­gée en Arai­gnee. Lisez Ouide.

Pierre de MARCASSUS, Les Œuvres de Pierre de Ronsard, volume second, 1623, Les Poèmes de P. de Ronsard, avec les Remarques de P. de Mar­cas­sus, deuxième livre des Poèmes, « Para­doxe », p. 1279
[Gallica, ark:/12148/bpt6k1042597x, PDF_421].
(texte original).



 

Liens

* On peut lire l’his­toire de « la méta­mor­phose d’Arach­né, châ­tiée pour im­pié­té », texte, tra­duc­tion et com­men­taire du début du livre VI des Méta­mor­phoses d’Ovide, dans une page de la Biblio­the­ca classi­ca selec­ta de l’Uni­ver­si­té Catho­lique de Louvain.

Liens valides au 10/05/20.