Par un destin dedans mon cœur
demeure,
L’œil, et la main, et le crin
délié,
Qui m’ont si fort, brûlé,
serré, lié,
Qu’ars, pris, lacé, par eux faut que je meure.
Le feu, la serre, et le rets
à toute heure,
Ardant, pressant, nouant mon amitié,
Occise aux pieds de ma fière moitié
Font par sa mort ma vie être meilleure.
Œil, main, et crin, qui
flammez et gênez,
Et r’enlacez mon cœur que vous tenez
Au labyrint de votre crêpe voie.
Hé que ne suis-je Ovide
bien-disant !
Œil tu serais un bel Astre luisant,
Main un beau lis, crin un beau rets de soie.
PAr
un destin dedans mon cœur demeure,
L’œil, et la main, et le crin
délié,
Qui m’ont si fort, brûlé,
serré, lié
Qu’ars, pris, lacé, par eux faut que je meure.
Le feu, la serre, et le rets
à toute heure,
Ardant, pressant, nouant mon amitié,
Occise aux pieds de ma fière moitié
Font par sa mort ma vie être meilleure.
Œil, main, et crin, qui
flammez et gênez,
Et r’enlacez mon cœur, que vous tenez
Au labyrint de votre crêpe voie.
Hé que ne suis-je Ovide
bien-disant !
Œil tu serais un bel Astre luisant,
Main un beau lis, crin un beau rets de soie.
PAr
un destin dedans mon cœur demeure,
L’œil,
et la main, et le crin
délié,
Qui m’ont si
fort, brûlé, serré, lié
Qu’ars, pris,
lacé, par eux faut que je meure.
Le
feu, la serre, et le rets à toute heure,
Ardant, pressant,
noudant mon
amitié,
Occise aux pieds de ma
fière moitié
Font par sa mort ma vie
être meilleure.
Œil,
main, et crin, qui brûlez
et gênez,
Et
enlacez mon cœur
que vous tenez
Au labyrint de votre
crêpe voie.
Hé
que ne suis-je Ovide
bien-disant !
Œil tu serais un
bel Astre luisant,
Main un beau lis, crin un
beau rets de soie.
PAr
un destin dedans mon cœur demeure,
L’œil, et la main, et le poil
délié,
Qui m’ont si fort, brûlé,
serré, lié
Qu’ars, pris, lacé, par eux faut que je meure.
Le feu, la serre, et le rets
à toute heure,
Ardant, pressant, noudant
mon amitié,
En me tuant aux pieds de
ma moitié
Font par ma mort, ma vie
être meilleure.
Œil, main, et
poil, qui
brûlez
et gênez,
Et enlacez mon
cœur que vous tenez
Au labyrint de votre crêpe voie.
Hé que ne suis-je Ovide
bien-disant !
Œil tu serais un bel Astre luisant,
Main un beau lis, poil un
beau rets de soie.
PAr
destinée en mon âme
demeure
L’œil, et la main, et le poil
délié,
Qui m’ont si fort brûlé,
serré, lié,
Qu’ars, pris, lacé, par eux faut que je meure.
Le feu, la serre, et le rets
à toute heure,
Ardant, pressant, noudant
mon amitié,
En m’immolant
aux pieds de
ma moitié,
Font par la mort, ma vie
être meilleure.
Œil, main, et
poil, qui
brûlez
et gênez,
Et enlacez mon
cœur que vous tenez
Au labyrint de votre crêpe voie,
Que ne
puis-je être Ovide bien-disant,
Œil tu serais un bel Astre luisant,
Main un beau lis, poil un
beau rets de soie.
PAr
un destin dedans mon cœur demeure,
L’œil, et la main, et le crin
délié,
Qui m’ont si fort, brûlé,
serré, lié
Qu’ars, pris, lacé, par eux faut que je meure.
Le feu, la serre, et le rets
à toute heure,
Ardant, pressant, nouant mon amitié,
Occise aux pieds de ma fière moitié
Font par sa mort ma vie être meilleure.
Œil, main, et crin, qui
flammez et gênez,
Et r’enlacez mon cœur, que vous tenez
Au labyrint de votre crêpe voie.
Hé que ne suis-je Ovide
bien-disant !
Œil tu serais un bel Astre luisant,
Main un beau lis, crin un beau rets de soie.
PAr
un destin dedans mon cœur demeure,
L’œil,
et la main, et le crin
délié,
Qui m’ont si
fort, brûlé, serré, lié
Qu’ars, pris,
lacé, par eux faut que je meure.
Le
feu, la serre, et le rets à toute heure,
Ardant, pressant,
noudant mon
amitié,
Occise aux pieds de ma
fière moitié
Font par sa mort ma vie
être meilleure.
Œil,
main, et crin, qui brûlez
et gênez,
Et
enlacez mon cœur
que vous tenez
Au labyrint de votre
crêpe voie.
Hé
que ne suis-je Ovide
bien-disant !
Œil tu serais un
bel Astre luisant,
Main un beau lis, crin un
beau rets de soie.
PAr
un destin dedans mon cœur demeure,
L’œil, et la main, et le poil
délié,
Qui m’ont si fort, brûlé,
serré, lié
Qu’ars, pris, lacé, par eux faut que je meure.
Le feu, la serre, et le rets
à toute heure,
Ardant, pressant, noudant
mon amitié,
En me tuant aux pieds de
ma moitié
Font par ma mort, ma vie
être meilleure.
Œil, main, et
poil, qui
brûlez
et gênez,
Et enlacez mon
cœur que vous tenez
Au labyrint de votre crêpe voie.
Hé que ne suis-je Ovide
bien-disant !
Œil tu serais un bel Astre luisant,
Main un beau lis, poil un
beau rets de soie.
PAr
destinée en mon âme
demeure
L’œil, et la main, et le poil
délié,
Qui m’ont si fort brûlé,
serré, lié,
Qu’ars, pris, lacé, par eux faut que je meure.
Le feu, la serre, et le rets
à toute heure,
Ardant, pressant, noudant
mon amitié,
En m’immolant
aux pieds de ma moitié,
Font par la mort, ma vie
être meilleure.
Œil, main, et
poil, qui
brûlez
et gênez,
Et enlacez mon
cœur que vous tenez
Au labyrint de votre crêpe voie,
Que ne
puis-je être Ovide bien-disant,
Œil tu serais un bel Astre luisant,
Main un beau lis, poil un
beau rets de soie.
LE Destin veut qu’en mon âme demeure
L’œil, et la main,
et le poil
délié,
Qui m’ont si fort brûlé,
serré, lié,
Qu’ars, pris, lacé, par eux faut que je meure.
Le feu, la prise,
et le rets à toute heure,
Ardant, pressant, nouant
mon amitié,
En m’immolant
aux pieds de
ma moitié,
Font par la mort, ma vie
être meilleure.
Œil, main, et
poil, qui
brûlez
et gênez,
Et enlacez mon
cœur que vous tenez
Au labyrint de votre crêpe voie,
Que ne
puis-je être Ovide bien-disant ?
Œil tu serais un bel Astre luisant,
Main un beau lis, poil un
beau rets de soie.
textes
modernisés
[R]
En ligne le 24/02/13.
Dernière révision le 26/09/21.