Que tout partout dorénavant
se mue :
Soit désormais Amour soûlé de pleurs,
Des chênes durs puissent naître les fleurs,
Au choc des vents l’eau ne soit plus émue,
Du cœur des rocs le miel
dégoutte et sue,
Soient du printemps semblables les couleurs,
L’été soit froid, l’hiver
plein de chaleurs,
De foi la terre en tous endroits soit nue :
Tout soit changé, puisque le
nœud si fort
Qui m’étreignait, et que la seule mort
Devait couper, ma Dame veut défaire.
Pourquoi d’Amour
méprises-tu la loi ?
Pourquoi fais-tu ce qui ne se peut faire ?
Pourquoi romps-tu si faussement ta foi ?
QUe
tout partout dorénavant se mue :
Soit désormais Amour soûlé de pleurs,
Des chênes durs puissent naître les fleurs,
Au choc des vents l’eau ne soit plus émue,
Du cœur des rocs le miel
dégoutte et sue,
Soient du printemps semblables les couleurs,
L’été soit froid, l’hiver
plein de chaleurs,
De foi la terre en tous endroits soit nue :
Tout soit changé, puisque le
nœud si fort
Qui m’étreignait, et que la seule mort
Devait couper, ma Dame veut défaire.
Pourquoi d’Amour
méprises-tu la loi ?
Pourquoi fais-tu ce qui ne se peut faire ?
Pourquoi romps-tu si faussement ta foi ?
QU’en
tout endroit toute chose se mue :
Soit désormais Amour soûlé de pleurs,
Des chênes durs puissent naître les fleurs,
Au choc des vents l’eau ne soit plus émue,
Le miel
d’un roc contre nature sue,
Soient du printemps semblables les couleurs,
L’été soit froid, l’hiver
plein de chaleurs,
Pleine de vents ne s’enfle
plus la nue :
Tout soit changé, puisque le
nœud si fort
Qui m’étreignait, et que la seule mort
Devait couper, ma Dame veut défaire.
Pourquoi d’Amour
méprises-tu la loi ?
Pourquoi fais-tu ce qui ne se peut faire ?
Pourquoi romps-tu si faussement ta foi ?
QUe
tout partout dorénavant se mue :
Soit désormais Amour soûlé de pleurs,
Des chênes durs puissent naître les fleurs,
Au choc des vents l’eau ne soit plus émue,
Du cœur des rocs le miel
dégoutte et sue,
Soient du printemps semblables les couleurs,
L’été soit froid, l’hiver
plein de chaleurs,
De foi la terre en tous endroits soit nue :
Tout soit changé, puisque le
nœud si fort
Qui m’étreignait, et que la seule mort
Devait couper, ma Dame veut défaire.
Pourquoi d’Amour
méprises-tu la loi ?
Pourquoi fais-tu ce qui ne se peut faire ?
Pourquoi romps-tu si faussement ta foi ?
QU’en
tout endroit toute chose se mue :
Soit désormais Amour soûlé de pleurs,
Des chênes durs puissent naître les fleurs,
Au choc des vents l’eau ne soit plus émue,
Le miel
d’un roc contre nature sue,
Soient du printemps semblables les couleurs,
L’été soit froid, l’hiver
plein de chaleurs,
Pleine de vents ne s’enfle
plus la nue :
Tout soit changé, puisque
le nœud si fort
Qui m’étreignait,et que la seule mort
Devait couper, ma Dame veut défaire.
Pourquoi d’Amour
méprises-tu la loi ?
Pourquoi fais-tu ce qui ne se peut faire ?
Pourquoi romps-tu si faussement ta foi ?
QUe toute chose en ce monde
se mue,
Soit désormais Amour soûlé de pleurs,
Des chênes durs puissent naître les fleurs,
Au choc des vents l’eau ne soit plus
émue :
Le miel
d’un roc contre nature sue,
Soient du printemps semblables les couleurs,
L’été soit froid, l’hiver
plein de chaleurs,
Pleine de vents ne s’enfle
plus la nue :
Tout soit changé, puisque
le nœud si fort
Qui m’étreignait, et que la seule mort
Devait trancher, elle a voulu
défaire.
Pourquoi d’Amour
méprises-tu la loi ?
Pourquoi fais-tu ce qui ne se peut faire ?
Pourquoi romps-tu si faussement ta foi ?
textes
modernisés
[R]
En ligne le 17/03/17.
Dernière révision le 24/01/22.