««« nénu­phar »»»

 

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Nénu­phar. Toujours-vert, hu­mide, ma­ré­ca­geux.

Cette herbe croît ès ma­rais, et ès eaux qui sont à recoi, ayant les feuilles fort larges, et toutes rondes, dont les unes nagent sur l’eau, et les autres se nour­rissent au fond de l’eau : de la­quelle herbe il y en a qui a la fleur jaune, ayant d’autres pro­prié­tés, que n’a celle qui l’a blanche. Vois Mat­thiole en ses com­men­taires sur les 131e et 132e chap. de Diosc. liv. 3.

Maurice de LA PORTE, Les Épithètes, 1571,
f° 176r° [Gallica, NUMM-50715, PDF_358]
(texte modernisé).

[Voir aussi plante.]


 

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Nenu­far ou Neufar. Tousiours-verd, hu­mide, ma­res­ca­geus.

Ceste herbe croist és ma­rez, & és eaux qui sont à requoi, aiant les fueilles fort larges, & toutes rondes, dont les vnes nagent sur l’eau, & les autres se nour­rissent au fonds de l’eau : de la­quelle herbe il y en a qui a la fleur iaune, aiant d’autres pro­prie­tés, que n’a celle qui l’a blanche. Voi Mat­thiole en ses com­men­taires sur les 131. & 132. chap. de Diosc. liu. 3.

Maurice de LA PORTE, Les Epithetes, 1571,
f° 176r° [Gallica, NUMM-50715, PDF_358]
(texte original).

[Voir aussi plante.]